La Révélation de Sophie (1)
Datte: 15/05/2018,
Catégories:
Divers,
... ordonnancement délimite aussi la propriété de Phil ; sa possession arbore d’innombrables atouts dont il usera bientôt ; il inspecte les deux collines parfaites avec leurs éminences dressées uniquement pour son bon plaisir, les deux clitoris roses sont cernés par des aréoles qui tirent sur le brun et ce dégradé rappelle le ton des lèvres d’un con et cette essence vaginale justifie l’entreprise de dégradation et l’assignation sexuelle se déploie pendant qu’il poursuit l’inventaire de son bien, se repait des cuisses, gainées de noir, pliées, serrées, unies par une carnation que l’on devine si lisse et si onctueuse ; cuisses qui s’écarteront parce que tel est le désir de l’homme. Il s’accorde une longue plage sans un mot, pour qu’elle s’imprègne pleinement de son infériorité : à genoux devant lui, autant dire à ses pieds. Il est parfaitement calme et posé. Il ne veut pas la terrifier juste la soumettre : « Tu dois apprendre à obéir et à me craindre à chaque fois que tu dévies du droit chemin ». Elle ose une question : « Le droit chemin ? », en rentrant la tête dans les épaules, craignant un coup en guise de réponse. Il répond magnanime : « Je te guiderai. N’oublie jamais que je suis le seul garant de ton épanouissement ou de ta déchéance. Moi seul sais ce qui est bon pour toi. Allez debout ! » Elle se lève. « Maintenant au salon pour recevoir ta punition ! Avance ! » Elle a encore une hésitation. Encore une ! Ils savent tous les deux qu’ils sont sur le tranchant des ...
... événements et pour basculer vers l’irréversible, sans prévenir, il lui décroche une gifle. Shhlaaa. La claque résonne comme un coup de théâtre. C’est la première fois qu’il porte la main sur une femme. Il ignorait qu’il en serait capable. Il en jouit. Certes, il a retenu le coup, ne compte surtout pas l’abimer, mais la marque des cinq doigts sur la joue prouve qu’il ne simulait pas. Elle reste d’abord bouche bée de surprise, puis pose sa main à l’endroit cuisant et se met à chialer. « Tu l’as cherchée, Sophie ! Je ne suis pas là pour m’amuser ! Si tu veux faire ta petite connasse, dis-le tout de suite que je ne perde plus mon temps. » L’insulte stupéfie la jeune fille. Phil est lui-même surpris de franchir aussi facilement les limites de la respectabilité. Il ne pensait pas prendre autant de plaisir à dénigrer une femme. C’est tellement valorisant pour lui. Elle s’habituera ! « Je me demande vraiment si tu mérites tout le mal que je me donne ? » Petite nichonne, tête baissée, les yeux pleurnicheurs tournés vers le sol, renifle et sans doute par son silence admet à sa propre démission. Mais Phil veut une proclamation : « Une bonne fois pour toute, désires-tu croupir dans les bas-fonds de la déchéance ? — Non…. » Et sllalck, une petite baffe, pour la forme, juste humiliante sur l’adorable joue ronde, la droite, celle qui a été épargnée par la précédente torgnole : « Non qui ? « Non Monsieur. » Elle ne cherche même pas à se protéger des baffes, c’est bon signe. Il entérine cette bonne ...