La Révélation de Sophie (1)
Datte: 15/05/2018,
Catégories:
Divers,
... affleurant. Il s’accroupit à ses côtés, lui caressa avec affection la tête. Et la tendresse dans la voix : « Lààà c’est rien. Tout doux, tout doux, Sophie. Ça va aller. Lààà, lààà calme toi, calme toi… — ouillououyyyeeee, ohhhhh, oohhhh, j’ai tellement honte. — Mais non, ma petite pisseuse, n’ai pas honte de ce que tu es. Tu es une petite pisseuse c’est comme ça. — Ohh Monsieur…. — Allez lève toi ! Voilà comme ça. » Il l’aide tout en la maintenant à distance pour ne pas se salir. Il évite tout contact avec les jambes maculées de pisse. Il est cependant obligé de lui tenir le bras car elle vacille. Il ne dissimule pas une grimace de dégoût tellement elle pue. « Ohh Monsieur, il faut que… — Quoi ? — Mais que je me change ! — Or de question ! Tu restes dans ta pisse ! Je ne transigerai pas là-dessus. Sinon tu n’apprendras jamais à être propre. — Ohhh Mon Dieu, c’est pas possible !!!! — On a presque fini la punition. On en était à combien de coups ? — Ohh nonnnnnn. Je n’y arriverai pas. S’il vous plait !!! Pitié !!! — Â ne recommence pas à faire des histoires ! Sois un peu courageuse ! Il reste huit malheureux coups de cravache. — Huit !!! Mais non !!!! — Tu t’es arrêtée de compter à quatre, Sophie. Allez ! Quatre coups de cravache sur chaque téton ce n’est pas si terrible que ça ! Si tu te conduis convenablement, après tu auras une récompense. — Monsieurrrr… — Tu m’entends ? Si tu ne réponds pas cela signifie que tu veux plus de coups. Alors m’entends- tu ? — Ouiii. » Il lève ...
... la cravache : « Oui qui ? « Ouii Monsieur. — Alors au travail. » Mais, alors que la badine se lève, par instinct de protection, la pleurnicheuse se ratatine et met les bras en protection devant ses jolis tétons déjà sérieusement martyrisés. « Sophie !!!! Les mains sur la tête ! Si tu veux, je t’attache les mains derrière le dos, mais dans ce cas, je rajoute six coups de cravache. A toi de décider ce que tu préfères, ma puce ». Il enchaînera très vite la flagellation, huit petits coups à la suite, quatre par tétons, dosés pour éviter de la faire souffrir. Rien à voir avec une torture. Elle s’est dandinée, puis tordue dans tous les sens, ses genoux ont ployé, elle a criée, plus d’appréhension que de douleur et, au final, elle a facilement encaissé. Maintenant, telle une Pietà, elle a les bras croisés devant ses seins endoloris, les mains reposent sur les clavicules, les doigts fins s’arrêtent juste là où commence la délicatesse des épaules ; l’icône de la virginité dans sa culotte souillée par la pisse, chouine en continu, s’interrompant juste pour renifler. Un filet morveux caresse l’ourlet boudeur de sa lèvre supérieur. Phil sort un kleenex de sa poche et gentiment lui torche le nez. « Tu vois Sophie, ce n’est pas si terrible que ça. Souffle. Là… Voilà. » La petite pouliche est trop subjuguée pour ne pas obtempérer et docilement, elle se laisse moucher. « Tu as mal ma petite puce ? » D’un mouvement de tête, la douce acquiesce à sa peine. « On va soigner ça. Tu vas voir. Va ...