1. La Révélation de Sophie (1)


    Datte: 15/05/2018, Catégories: Divers,

    ... chercher le bol de glaçon. — Hein ? — Le bol de glaçon sur la table, à côté du vibromasseur. Va vite ma puce. — Vous…Vous… — Quoi ma chérie ? — Vous n’allez plus me frapper… S’il vous plait ! — Mais bien sûr que non. Que tu es stupide de penser ça. Au contraire, je vais soigner ce gros bobo et après tu auras une récompense. Je te l’ai promis et je tiens toujours mes promesses. Allez dépêche-toi. — Mais… » Il lui suffit de prendre un air sévère : « Sophie ! » Et l’adorable petit cul obtempère. Bien sûr qu’elle est inquiète. Il y a la cravache, comme une menace, posée sur la table juste à côté du vibromasseur dont elle ignore la fonction ce qui renforce l’incertitude angoissante : qu’est-ce que son bourreau va encore inventer. Il s’absente un moment. Revient. Ohh mon dieu, qu’a t-il dans les mains ? Un tube ? « On va commencer par la glace. » Elle sait qu’en se dérobant elle s’exposerait immédiatement à la maltraitance. Et puis, les élancements lancinant de sa poitrine meurtrie, sa tenue humiliante, l’inconfort de sa culotte, l’urine qui s’est répandue sur ses cuisses, qui dégorge de ses collants, l’odeur de la souillure qui agresse ses narines, autant d’assignations à l’infériorité ; alors elle subit sans broncher. Il tient coincé entre deux doigts un glaçon et il abuse de ce prétexte, pour s’adonner à des attouchements ignobles. Elle tressaute quand la glace brûlante patine sur l’aréole, fond contre le mamelon, « chuttt ma puce, tout doux, tout doux, lààà voilà, tu vois ...
    ... comme ça te fais du bien… » et en effet la sensation d’anesthésie agit, sollicite en elle, alors que la douleur décroit, quelque chose comme du plaisir. Ses tétons contentés, la trahissent, ils se dressent ostensiblement et pas rancuniers, remercient celui qui, il y a quelques minutes à peine, les flagellait. Phil renouvelle l’opération et s’applique à provoquer une érection maximale des papilles mammaires. Interdite de parole, mais voulant quand même montrer qu’elle n’est pas consentante, la petite nichonne se dandine pour qu’il arrête. Et lui très satisfait du résultat : « Ça va déjà beaucoup mieux. Mais, tu as encore mal n’est-ce pas ? Je vais passer une pommade magique. » Et joignant le geste à la parole, il enduit copieusement ses doigts d’un baume régénérateur et apaisant qu’il étale sur les éminences. Il pommade généreusement les pointes et avec toute la délicatesse requise, les sculpte sans relâche, sans se presser ni les presser, sans les étirer ni les traire, juste longuement, de bout en bout, il joue avec ces bouts érogènes ; les tétines rougeoyantes ainsi pénétrées de soin deviennent toutes luisantes ; la crème en couche s’accumule et progressivement, le vicieux étend son geste pour masser sans gêne aucune toute la superficie des seins ; à pleine main il épouse le galbe, soupèse la charnelle rondeur et même la soulève et constate à quel point, elle s’avère ferme au touché. A mesure que dure les palpations inconvenantes, Sophie se confond dans la honte. Qu’est-ce ...
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