1. La Révélation de Sophie (1)


    Datte: 15/05/2018, Catégories: Divers,

    ... qu’elle est troublante quand elle est troublée. Elle ne peut pas indéfiniment accepter une telle négation de son identité. Elle se doit de réagir : « Monsieur… — Quoi encore ? — S’il vous plait arrêtez… » Loin de s’interrompre, il reprend le tube, presse une copieuse dose de gel sur ses grosses paluches et les doigts huileux à souhait pelotent et repolotent encore les pis de l’exquise génisse. « … C’est très gênant Monsieur. » Et lui, dans un soupire sa désapprobation : " Tu es vraiment ingrate Sophie ! Tout le mal que je me donne pour toi ! Je ne sais pas si tu mérites la récompense. Mais bon, je te l’ai promise et je tiens toujours parole. » Elle redoute, mais doit aussi redoubler de prudence pour éviter les sévices. Il retourne vers la table et exhibe fièrement le manche en plastique de forme oblongue dont le terme est composé d’un embout rond en mousse lui-même hérissé de minuscules petites pattes flexibles et souples. Il a dû appuyer sur le commutateur car l’engin se met à vibrer légèrement, puis plus fortement ; sans doute le vibromasseur est-il doté d’un potentiomètre. Phil teste ainsi quelques secondes le jouet avant de l’éteindre, pour ne pas user inutilement les piles. « C’est de loin le modèle le plus efficace ! Tu vas te régaler Sophie. » Panique à bord : « Mais qu’est-ce que c’est !!!! — C’est un vibromasseur ma puce. Ne me dis pas que tu n’en as jamais vu ! Celui-là est d’une telle efficacité qu’il procure l’orgasme en quelques minutes. » — Mais nonnn…. » Elle ...
    ... ignore la nature de l’objet mais n’a aucun doute sur sa fonction. Alors elle s’est accroupie, cuisses soudées avec l’intention de ne les écarter pour rien au monde. Et elle repart dans les pleurs : « Nonn, pitié, ne me torturez pas… Monsieur… Pas ça. » « Mais es-tu stupide à ce point ? Ce démon que tu redoutes tant, on va l’extirper. Il est tapi à l’intérieur de ton sexe, de ton ventre, de ton être. Nous allons le débusquer, le faire sortir… — Je veux pas !!! — On dirait que tu ne t’es jamais branlée ? — Mais nonnnn. — Tu ne t’es jamais branlée ? » Outrée : — Monsieur !!! » Il prend la cravache en main. Elle se décompose, recule. « Jure que tu ne t’astiques jamais la chatte ? — Mais non !!! — Mais c’est incroyable ! Pourquoi ? — Mais parce que !!! » Il fait siffler la badine dans l’air. « Pourquoi Sophie ? Répond ou tu vas être corrigée. — Mais… Mais… c’est sale... S’il vous plait !!! — Qui t’as dit que c’était sale, Sophie ? — Maman… Monsieur le curé… — Ils te mentent. Tu ne te débarrasseras jamais de cette envie naturelle, tu dois juste la libérer pour ensuite l’apprivoiser. — C’est pas bien, c’est un péché. — Il n’y a pas pire péché que la frustration. Je vais te guider vers le divin. — Mon Dieu. — Oui Sophie, je connais la voie qui mène au divin. — Vous mentez ! — Tu seras puni pour ton insolence ! » Il lève la cravache. Elle se tasse, ploie les genoux, se recroqueville comme un embryon, les pieds dans la flaque de pisse. « Non Monsieur !!!! Pitié !!! — Qui vas-tu prier ...
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