1. La Révélation de Sophie (1)


    Datte: 15/05/2018, Catégories: Divers,

    ... à l’usage lubrique, à commencer par les douces collines solidement arrimées, leurs délicats tétons roses, soulignés de traits saignants de cravache, louchent avec tendresse vers le sol, mais c’est surtout, sertie dans le coton imbibé, la croupe ferme et nerveuse qui accapare un regard jamais rassasié de remonter et dévaler le tremplin de la cambrure profonde, enthousiasmante rampe de lancement pour le trône moelleux. Un pouf de princesse avec aux cuisses les collants d’une poufiasse négligée au point de se pisser dessus. Le torse penchée en avant, le cul tendu vers Phil, prosternée, réduite à n’être faite que pour la queue, Sophie est offerte… mais pas encore prête à servir. Sans précipitation, il continue à la domestiquer. Il en rajoute à peine : « Dis donc, tu nous as fait une sacrée mare. Regarde, tu en a mis partout. Pas étonnant, tout à l’heure tu étais vautrée dedans comme une truie dans sa fange. » L’insulte atteint sa cible et les larmes coulent à nouveau. « … Allez… Encore un coup d’éponge. Essore la bien. Voilà, allez recommence. Là, c’est mieux. Tu peux te relever, ma puce. Maintenant, file à la cuisine pour me préparer à manger. Et avant tu te laves soigneusement les mains. Je n’ai aucune envie que mon repas ait un goût de pisse. — Monsieur… — Oui ma puce ? — Je… peux m’habiller… S’il vous plait… Et puis prendre une douche… et… me couvrir… — Tu as froid ? — Oui, s’il vous plait. — Je ne veux pas que tu tombes malade, ma puce. On va monter le chauffage. — Mais ...
    ... monsieur… — Ah ne recommence pas avec tes caprices ! Sinon… » Sous les ordres de Phil, elle ouvre le frigo, se ploie légèrement, sors les boîtes en plastique qu’il désigne, se dirige vers un placard, s’accroupie pour extraire une poêle et une casserole, se relève, déverse le contenu des boîtes, touille avec une cuillère en bois piochée dans un tiroir, se penche pour allumer la gazinière et pendant que réchauffe à feu doux des œufs brouillés et un reste de ratatouille, toujours en suivant à la lettre les directives de l’homme, elle s’avance vers le buffet dans l’intention de prendre les couverts et de dresser la table… Tout en s’affairant, elle ne cessait de jeter des coups d’œil apeurés en direction du prédateur qui, calé sur une chaise, se rassasie de la gestuelle empruntée d’inquiétude. Pour maximiser la déstabilisation, il a posé sur la table, à portée de main, et la cravache et le vibromasseur. L’anxiété et la retenue pudique déclenchent une alchimie des plus excitantes, l’odeur de pisse renforce le goût terriblement piquant et trouble de la situation ; cette fragilisation extrême avive l’envoutante essence féminine. De dos, une triangulation parfaitement érotique, épaules à l’arrondie alanguie, éclipse de la taille et ellipse des hanches, concoure à la quadrature implacable d’un admirable et charnu petit cul planté sur des jambes aux cuisses douces et galbées mais présentement couverte d’une gaine constellée de taches de pisse ; de profile, la cascade de cheveux, le nez ...
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