La Révélation de Sophie (1)
Datte: 15/05/2018,
Catégories:
Divers,
... réconfortante, encourageante. « Et bien ! Ce fut laborieux. Tu vois ce n’est pas si terrible que ça. Tu vas vite t’habituer. — Que voulez-vous de moi ? — Dans l’immédiat, un café. — Quoi ? — Sers-moi un café. Obéis sans te poser de question. Je vais te montrer où est la cuisine. Avance. » Elle n’est pas aussi prompte qu’elle le devrait. Mais elle s’exécute. Et Phil déguste du regard l’adorable petit cul, musclé et haut perché, qui trottine gentiment vers la cuisine. Le contraste aphrodisiaque entre la cambrure profonde et la courbe inversée d’une croupe rondement potelée est du meilleur effet. Les collants noirs s’arrêtent en haut des cuisses comme pour sublimer encore l’érogénéité du postérieur. Ça donne un petit côté pute-vierge du meilleur effet. Il s’assoit à la table de la cuisine et observe le petit cul vaquer. Même si sa culotte en coton est d’une sobriété exemplaire, même si Sophie retient pudiquement ses gestes, chaque mouvement l’assigne à la féminité. Le piège serait de l’admirer. Au contraire pour justifier sa domination, il va la déconsidérer. La chosifier. Réduire cette divine humanité à l’état de simple petite nichonne. D’ailleurs, il a hâte de prendre à pleines mains les douces dunes rondes, au jugé un 90B, elles sont à la mesure exacte de ses grosses paluches et les tétons roses indiquent fièrement la direction à suivre ; la modestie de la jeune femelle est tout autant contredite par le balancement hypnotique de sa croupe insolente. De face, la culotte ...
... blanche parfaitement opaque ne laisse pas deviner le dessin du con, mais un renflement trahit non seulement l’abricot mais aussi une touffe de brune qui à n’en pas douter s’annonce assez drue. Et le noir des collants souligne crûment l’exhibition. Quand elle soulève le bras gauche pour attraper la tasse dans le placard, Phil note que la pucelle au naturelle ne s’épile pas non plus sous les bras. Il faudra remédier rapidement à ça. Sophie réduit sa gestuelle au maximum, mais la plasticité adopte cette chair si souple, le cul omniprésent, omnipotent, mène la danse ; dans le sillage de cet arrière train d’enfer, les seins, eux aussi, s’offrent en toute fermeté aux caresses de l’air, ils suivent l’exemple des deux pointes érogènes, plantées en leur sommet et qui, au vu et au sus de tous, insultent l’apesanteur. Il adorerait pouvoir lire dans les pensées de la vierge. Il devine la honte de s’exhiber les mamelles à l’air avec pour toute protection une culotte en coton et de vulgaires collants. Elle suit ses instructions et lui prépare un Nespresso. « Un Roma, Sophie. Sans sucre. » Un semblant de contenance retrouvé, elle a ravalé ses larmes, s’est discrètement torchée le nez et maintenant, elle pose la tasse de café devant lui sur la table de la cuisine. Elle va pour poser son ravissant derrière sur une chaise. Il la regarde sévèrement : « Je t’ai autorisé à t’assoir, Sophie ? » Elle se lève, n’ose pas contester, juste objecter : « Mais ? — Tu n’as pas fini de me servir. Apporte une ...