1. Pluralités


    Datte: 16/05/2018, Catégories: fh, fhhh, inconnu, amour, cérébral, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe

    ... ! Je l’encourage : — Oui, oui, oui ! Comme ça ! Pas trop vite…— C’est extra d’être dans ton mignon petit cul !— Oui, oui ! Entre encore un peu plus ! Oui comme ça ! Houaaa !— Je t’ai fait mal ?— Non, non ! C’est juste que la sensation est forte quand tu te retires un peu ! Il s’enfonce en moi, coulissant amplement, lentement, puissamment. C’est très bon comme ça ! J’adore le sentir de la sorte, sentir toute sa queue. — Oh que c’est bon, mon poussin ! Oh oui ! Je me masturbe comme une petite folle. Le feu de mon clitoris et le feu de mon cul se mélangent en un cocktail explosif. Ma jouissance déflagre quand j’entends ses râles de plaisir, quand je sais, quand je sens que son sperme envahit mon cul. Être enculée, oui ; avec lui, j’adore, et je sens que ce ne sera certainement pas la dernière fois que je jouirai, prise de la sorte, le cul bien rempli, le cul en fusion ! Jour après jour, Fabien explore mon corps sans se lasser et sans me lasser ; il m’aide à me lâcher encore plus loin, à me laisser aller complètement, par-delà toute notion de bienséance, de pudeur, de honte. Faire l’amour avec lui est un immense plaisir ; peu importe si je suis la dame de ses pensées ou une chienne assoiffée de sexe. J’adore quand il est en moi, quand il me remplit, quand il m’inonde. — Encore ? Tu vas finir par me vider complètement, ma chérie ! Je ne suis qu’un homme, pas Superman !— C’est de ta faute, j’aime trop ce que tu me fais subir, petit poussin pervers ! Allez, allez ! Du nerf ! Du ...
    ... cœur à l’ouvrage !— Tu as de la chance, mon machin est à nouveau prêt à l’emploi !— Je vois ça, et tu me diras ensuite que c’est moi qui t’épuise ! Pauvre chou, va ! J’adore découvrir avec lui d’autres horizons, d’autres contrées, d’autres façons de faire et d’être. Parfois, quand je pense à certaines soirées, je me dis que nous y avons été de bon cœur et que si un de mes ex m’avait parlé de faire la même chose, je l’aurais traité de pervers ou de vieux dégoûtant ! Maintenant, je fais pire… Ah, toutes ces nuits de folie durant lesquelles je m’offre totalement, complètement, absolument ! Je n’en reviens pas moi-même, jusqu’à quel point je peux aller dans l’abandon, dans le don de mon corps et même de mon âme ! Et sans remords aucun… car avec Fabien, tout me semble si naturel, si évident, surtout quand je sais qu’au bout je jouirai comme une petite folle jusqu’à m’en déglinguer le corps, m’en briser les os, bouillir le sang, et cela, pas qu’une seule fois. Je meurs et je renais plus forte encore à chaque fois ! Il faut le vivre pour le comprendre. J’adore sa langue quand elle s’insinue en moi, quand elle me désire, me dévore. J’adore son sexe quand il se frotte contre moi, qu’il pénètre en moi, peu importe l’endroit ! Quand sa chair fusionne avec la mienne, quand je deviens folle de désir, quand je deviens chienne, quand je l’appelle, quand je veux qu’il me possède, qu’il me remplisse encore et encore, toujours ! Puis quand je sombre dans la béatitude de son plaisir et du mien, ...
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