1. Pluralités


    Datte: 16/05/2018, Catégories: fh, fhhh, inconnu, amour, cérébral, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe

    ... impression qu’on tente de forcer un peu la porte de service. Je m’en doutais un peu, mais ça ne me dérange pas. C’est d’ailleurs plutôt aguichant ! Je glisse mes doigts dans ma fente à la recherche de mon petit bouton si tactile. Fabien s’en est aperçu et visiblement, ça lui a donné des ailes car il continue à se frotter à moi plus encore. Puis il se retire un court moment pour mieux revenir. J’ai la sensation que c’est plus humide, plus lubrifié. Il recommence son petit manège deux fois de plus. À la troisième fois, je risque un œil : oui, il lubrifie son gland de sa salive en la déposant sur ses doigts et en l’étalant ainsi. Curieusement, ça m’excite plus encore ! — Tu cherches à faire quoi, petit salaud ?— Je lubrifie… ça accentue les sensations…— Ah oui ? T’as pas une autre idée en tête ?— Comme celle-ci ? En même temps, il donne un petit coup de reins et quelque chose entre en moi, juste un peu, mais c’est bien en moi. — Tu es décidément un petit salaud, toi !— Dis-moi que tu n’aimes pas ?— J’ai pas dit ça… Et il commence une série de va-et-vient. Il fait attention, c’est certain, mais il est néanmoins en train de me perforer, de m’enculer, si on n’a pas peur des mots. Lentement mais sûrement, il coulisse en moi. Puis soudainement il se retire. Intriguée, je lui demande : — Tu fais quoi ?— Tu es déjà en manque ? Ça te plaisait ?— Je ne te répondrai pas ! Sa réponse est de se réintroduire en moi. Je suis un peu surprise de la facilité avec laquelle il est à nouveau dans ...
    ... cet étroit couloir sans que ça ne soit pénible pour moi. Ce n’est pas la première fois que je me fais sodomiser, mais d’habitude il me faut une tonne de lubrifiant et une très bonne disposition aidée par des heures de préliminaires. — Je reste au bord ou…— Tu étais déjà censé rester au bord, et là tu es déjà dedans, je te signale !— Je peux en rester là, ou aller plus loin… Je ne réponds pas. Ça me plairait bien qu’il en reste là, mais ça me plairait aussi qu’il aille plus loin car j’ai envie de savoir si je suis prête à l’accepter entièrement, et quelque chose me dit que la réponse est oui. Négligemment, je lâche : — C’est comme tu veux, mon poussin !— Mon poussin ?— Oui, tu es doux comme un poussin…— Merci du compliment… dans ce cas, je veux être toujours ton poussin ! Je me contente de sourire. L’instant d’après, je le sens s’introduire plus loin en moi, et il le fait délicatement. Je crois que j’ai eu raison de me laisser faire. Je me demande alors jusqu’où je ne pourrais pas aller avec Fabien. Cette pensée me trouble ! — Vas-y, mets tout ! Fais-moi bien sentir ta queue !— Toujours obéir à la dame de ses pensées !— Tu parles d’une dame de tes pensées ! T’as surtout envie de m’enculer !— L’idée m’a traversé l’esprit, je le reconnais…— C’est surtout ta bite qui traverse mon cul ! Je ne me savais pas si triviale. En bon soldat obéissant, il joue admirablement de sa baïonnette dans mon entrée des artistes. Le moins que je puisse dire est que ça me procure de sacrées sensations ...