Pluralités
Datte: 16/05/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
inconnu,
amour,
cérébral,
Masturbation
Oral
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
... mon cher. Je te quitte car j’ai découvert que toi et moi, on faisait fausse route. Bien le bonjour aux « autres » ! Je n’attends pas sa réponse ; altière, je sors de la chambre, ramassant au passage mes habits. Quelques secondes plus tard, la porte d’entrée claque. Définitivement. Puis jour après jour, le temps passe, de la même façon que l’eau sous les ponts… Pierre a bien essayé de me contacter, mais il a vite compris que j’avais décidé d’en finir avec notre histoire. Il m’a traitée de salope ; je lui ai répondu : « À qui la faute ? » Qui a fait ce pari stupide ? Lui ou moi ? Pendant quelques jours, j’ai évité d’aller dans les mêmes endroits que lui, que nous. Ça m’a permis de découvrir d’autres lieux, et souvent je n’ai pas perdu au change. Puis un beau jour, à ma très grande surprise, j’ai découvert Fabien qui m’attendait sur mon palier. — Mais… tu fais quoi, là ?— Je t’attendais. Voilà pour toi… Et il me tend un petit bouquet de fleurs. Surprise, je ne peux m’empêcher de les prendre. Je ne sais pas quoi faire. C’est lui qui demande : — Tu as le choix : soit nous restons sur le palier, soit nous entrons chez toi, ou soit nous allons quelque part… Peu importe, du moment que je puisse te parler… en toute tranquillité, si possible…— Rentrons chez moi… Peu après, nous sommes dans mon petit salon. Fabien s’explique : — Ça va faire des jours et des jours que j’essaye de te chasser de ma mémoire, mais je n’y arrive pas. Et puis, j’ai appris que tu avais cassé définitivement avec ...
... Pierre…— Oui, j’ai cassé…— Très bien… Je sais que j’y vais franco, que c’est peut-être pas le moment, mais dans ce cas, je me propose…— Tu te proposes ? C’est-à-dire ? Il s’approche un peu plus de moi : — Comme je te l’ai déjà avoué, je n’arrive pas à te chasser de ma mémoire et de mes rêves.— Tu n’avais pas parlé de rêves…— Je reconnais que notre rencontre a été un peu… disons, spéciale, mais j’ai bon espoir que toi et moi…— Tu as l’art de ne pas finir tes phrases…— Je n’ai jamais été un grand causeur, tu sais… Je lui souris : — Je sais, tu agis, plutôt…— Tu as raison… Avec une surprenante vélocité, il se penche sur moi et m’embrasse. Je me laisse faire. Puis nos lèvres se séparent. Je lui demande carrément : — Tu veux quoi ?— Toi, tout simplement toi.— Comment ? Pourquoi ?— Ça fait deux questions, Nathalie…— M’en fiche ! Réponds aux deux, s’il te plaît ! Plaçant sa main sur sa nuque, il lève les yeux au plafond, comme pour chercher ses mots, puis me regarde dans les yeux… — Pourquoi ? Parce que tu me plais énormément, et parce que j’ai beaucoup aimé notre fusion… J’ai senti que nous étions comme sur la même longueur d’onde… que je te devinais sans problème…— Peut-être… oui, nous sommes peut-être synchros au lit, ça se peut…— Quant au comment, ça ne dépend que de toi pour accepter mes invitations… Assez étonnée, je regarde dans les yeux : — Tu veux quand même sortir avec moi, même si tu me connais déjà de la tête aux pieds ?— Je veux sortir avec toi parce que, justement, je ...