Psy et psy et colégram !
Datte: 16/05/2018,
Catégories:
fh,
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couple,
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grossexe,
fête,
amour,
cérébral,
Masturbation
Oral
préservati,
pénétratio,
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confession,
Dès qu’elle est entrée, j’ai pensé à une erreur. D’abord, pas du tout le genre de ma clientèle habituelle qui, sans être pauvre, ne donne pas cette impression d’élégance naturelle et de classe innée. Elle était habillée sobrement, mais chaque détail avait son importance et on sentait la bourgeoise ou bien la femme de cadre, si ce n’était cadre elle-même. L’autre différence était sa couleur de peau. Du fait de mes origines, de la banlieue où j’exerce, mes patients sont, soit noirs, soit nord-africains. Surtout, n’allez pas imaginer que mes patients n’ont pas besoin, comme tout le monde, d’un psy. Ce n’est pas parce qu’on est noir ou coloré ou même jaune que l’âme n’a pas ses soucis. Mais elle était blanche. J’ai donc pensé qu’elle s’était trompée. C’est vrai que mon nom « David Dumarin » n’indique pas ma couleur de peau et que les « thérapies cognitivo-comportementales ou TCC » que je pratique sont universelles. Pourtant une erreur était surprenante en cette époque où un clic permet de consulter le site d’un professionnel. — Bonjour, Madame, « Claire Bachole » je crois. Asseyez-vous, je vous en prie.— Merci, Docteur.— Pas docteur. Je ne suis pas docteur. Mais avant de commencer, je veux vous poser une question. Je peux ?— Bien entendu.— Comment avez-vous choisi mon cabinet. Le hasard, peut-être ?— Pas du tout. Je vous ai choisi en toute connaissance.— Parfait. Nous allons commencer par quelques formalités comme nom, adresse, profession, situation, etc.— Je vous écoute. Pendant ...
... quelques minutes, je fais connaissance avec ma patiente. — Bien, maintenant je vous écoute. Vous ne serez pas surprise si je vous demande de vous installer sur ce divan que vous pouvez incliner comme vous le souhaitez. Elle s’installe. Elle cherche la bonne position. Je la sens troublée, soudainement nerveuse, mal à l’aise. — Je vous en prie. Détendez-vous. Donc… ------------------ Voilà ! Tout a commencé le jour où je suis allée au mariage d’une cousine éloignée. Marc, mon mari, ne m’avait pas accompagnée. On s’était encore disputé. La cérémonie, le repas, tout était parfait. Même mes voisins de table étaient charmants. L’absence de mon mari ne me pesait plus. J’avais un peu bu. J’avais beaucoup dansé. Mon mari n’aime pas danser, aussi je me sentais libre. Un homme, Armand, plus jeune, plutôt beau garçon, avait été mon principal cavalier. Je sentais bien qu’il me faisait la cour. Une cour discrète au début et de plus en plus appuyée tout en restant dans les convenances. Sinon je l’aurais éconduit. Je n’aurais pas voulu qu’on rapporte à mon mari que sa femme s’était mal comportée. Et puis, la nuit avançant, la lumière s’est faite plus discrète sur la piste de danse, les slows plus fréquents, favorisant une certaine intimité. Il en a profité, son corps se faisant plus présent contre le mien, des baisers dans le cou, des mains qui n’hésitaient plus à caresser mon dos et descendaient lentement vers mes fesses. J’étais bien. Cela faisait si longtemps qu’on ne m’avait pas traitée ...