Psy et psy et colégram !
Datte: 16/05/2018,
Catégories:
fh,
2couples,
couple,
couplus,
grossexe,
fête,
amour,
cérébral,
Masturbation
Oral
préservati,
pénétratio,
fsodo,
confession,
... ainsi. Personne ne faisait attention à nous. Il ne restait que des couples enlacés, les autres convives s’étant dirigés vers leur chambre. — Si on allait fumer une cigarette dehors ? me demande Armand en susurrant cette offre dans le creux de mon oreille. Le ton était chargé de sous-entendus. Mais je me dis qu’un peu d’air frais allait me permettre de me ressaisir, car je sentais bien que petit à petit ma résistance diminuait. Dehors, plusieurs personnes fumaient ou vapotaient. Marc mit le sien en marche. — Marchons un peu, veux-tu ! La marche n’a duré que le temps de nous éloigner et de plonger dans l’obscurité. Aussitôt il m’enlace. Son haleine sent la menthe. Sa langue, d’abord timide, pousse son avantage dès qu’il sent que je ne résiste pas. C’est bon d’être dans les bras d’un homme. Je me laisse aller. Nos corps s’épousent parfaitement. Il me caresse. Rien ne peut le déranger. Mes fesses sont des rondeurs qu’il explore. Je sens qu’il tire sur ma robe pour que le tissu ne soit plus une barrière. Il trouve aussitôt ma culotte. Il hésite à peine et glisse ses mains sous la fine dentelle afin que ses paumes touchent ma peau. C’est une brûlure. Une brûlure qui se propage partout. Je me colle tout contre lui, frottant mon pubis comme une chatte en chaleur. Son sexe se réveille. Je sens cette barre qui me repousse à mesure qu’elle gonfle. Alors, folle d’envie, c’est à mon tour d’oser. Je plaque une main contre sa braguette pour en prendre la dimension. Pire, j’ose me glisser ...
... entre la ceinture et son ventre, mais c’est si serré que je ne découvre que le haut de la bite, du bout d’un doigt. — Allons dans ta chambre, dit-il.— Oui… Non, mais non.— Pourquoi tu ne veux pas ? C’est bien moi qui réponds avec une voix que je ne reconnais pas, tellement elle est chargée d’envie. — Si. Si. Mais comme j’étais seule, on m’a demandé d’héberger une invitée. Et toi ?— Moi, je n’ai pas de chambre. J’habite à dix kilomètres. Il doit avoir la même pensée que moi, en dix kilomètres l’ambiance va changer et ce ne sera plus si « spontané ». — J’ai une idée. Suis-moi. Il m’entraîne. On fait le tour du bâtiment, pousse une porte et on pénètre dans une grande pièce que je reconnais pour être la salle où les enfants des invités étaient gardés et distraits pendant la noce. Évidemment, la pièce est vide de ses petits occupants. Des petits sièges, des tables, des jeux au sol, une grande télé et un petit canapé. La pièce n’est pas éclairée, si ce n’est par des lumières de sécurité incrustée dans le sol et quelques spots diffus. On entend la musique de l’autre côté du mur. C’est la piste de danse. Marc me pousse vers le canapé. C’est une femme impatiente qui entend à son oreille : — Tu devrais enlever ta robe pour ne pas la froisser. Je ne suis pas dupe, mais moi je pense aussi « tacher » par… Un signe de la tête suffit. Il m’aide à descendre la fermeture Éclair. Je retiens la robe et vais la poser soigneusement sur une table à côté. En me retournant, je constate que lui a ...