Dérapage incontrôlé
Datte: 16/05/2018,
Catégories:
fh,
2couples,
parking,
boitenuit,
Oral
préservati,
pénétratio,
hsodo,
échange,
confession,
... son gode ceinture. Une bite d’homme, c’est autrement bon. Laisse-toi aller… Ouvre-toi… Ta femme m’a bien sucé, sa salive va nous servir de lubrifiant… Je sens la pression de son gros nœud gluant. Je ne peux pas fuir. Ma bite est au plus profond de Rose, mon ventre collé au sien et Marc pousse, pousse. Le traître, il s’est laissé faire : mon cul s’est ouvert sans se défendre. Mes lèvres me trahissent aussi en lâchant ceOhhh qui n’a rien d’un refus. Je dois avoir une drôle de tête ! En tout cas, c’est ce que dit le regard de ma femme qui doit ressentir aussi la pression. Il me pénètre, s’enfonce en moi de plus en plus profondément. Il est plus gros que le gode. Plus gros et paradoxalement plus dur ! Plus dur et plus chaud. Il explore des régions vierges de mon cul. Je suis plein de son sexe. Enfin presque, car un coup de reins vainqueur me signifie qu’il m’encule jusqu’à la garde et que ses couilles se balancent près des miennes. — Tu vois comme c’est facile. Tu me sens bien ? Je ne vais tout de même pas dire devant tout le monde, sous le regard de mon épouse, que je sens bien cette bite qui m’encule. Qu’à mari cocu, il faut ajouter aussi, mari enculé ! J’opine juste de la tête. Il commence à bouger. Le salaud baise ma femme alors qu’il me prend le cul. Ses mouvements se répercutent à travers moi. C’est bon. Chut, ne le répétez pas, mais c’est drôlement jouissif. C’est ma première fois. Oui, chaque fois que Rose m’enfilait avec le gode et qu’elle me labourait le cul jusqu’à ce ...
... que je demande grâce, je me demandais quel effet cela ferait avec une vraie queue. Et la vraie, j’y ai droit. Elle est vivante. Elle palpite. Elle brûle. Elle avance et recule en moi. La mienne bouge dans ma femme. Ma femme qui assiste et ressent. Mais Lise monte sur la table et tout en souplesse vient donner sa moule à lécher. Rose disparaît sous la jupe et je suis bien placé pour savoir que la femme ne porte plus de culotte. Nous sommes les esclaves de ce couple. Esclaves consentants ! Qui aurait pu imaginer ? Si des voyeurs pouvaient nous observer, quel spectacle ! Une aire de pique-nique ? Pique, nique mon cul ! C’est bien le cas de le dire ! Il me ramone et que c’est bon. Rien à voir avec le gode. C’est différent. À la fois, plus gros, plus dur, plus envahissant, mais aussi plus souple. Et ce ventre qui se plaque contre mes fesses. Et cette femelle qui se fait lécher ! Et cette femme, la mienne, que son amant baise par procuration et qui doit sucer un minou que son propre mari a occupé il n’y a pas longtemps. Il se vide. C’est chaud. C’est la première fois. Merde, il n’a pas mis de capote. Je comprends le plaisir d’une femme lorsque l’homme se libère en elle, l’inonde de son jus, comme moi je sens dans mes boyaux le foutre de mon enculeur que sa queue brasse lentement, me pistonnant une dernière fois avant de me quitter. Je le regrette déjà… Sans presque m’en rendre compte, j’ai moi aussi éjaculé… Quelle scène ! Quelle folie ! Quelle perversité ! Comment avons-nous pu en ...