Les transmissions
Datte: 16/05/2018,
Catégories:
grp,
médical,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
f+medical,
Les transmissions se terminent. Les transmissions, dans un hôpital de jour comme celui-ci, c’est en début d’après-midi, après le déjeuner, quand l’équipe du matin dit à l’équipe de l’après-midi le déroulement de la matinée. La matinée a été calme et les transmissions ont été brèves. Chantal est présente en tant que secrétaire du service, chargée de mettre par écrit ce qui a été dit… Nous sommes en 1976, l’été de la canicule. Chantal a 32 ans. Il fait très chaud dans le bureau et Chantal dit machinalement : — On étouffe là-dedans ! Une voix lui répond : — Mets-toi à ton aise ! Chantal, sans y penser, déboutonne un peu son corsage dont seul le bouton du haut était dégrafé. — C’est tout ? demande la voix. Chantal sourit, et lui dit : — Et comme ça, ça te va ? tout en déboutonnant son corsage jusqu’entre les seins. Les autres voient ce qu’ils devinaient, Chantal n’a pas de soutien-gorge. Comme tous les jours depuis le début de la canicule, elle l’enlève en arrivant. Les bavardages continuent. Chantal passe les amuse-gueules et ensuite sert le champagne apporté par un médecin qui fête son arrivée. Elle se penche sur sa gauche, mettant ainsi ses seins sous le nez d’un infirmier. Son corsage bâille. L’infirmier lui dit que c’est joli et que c’est dommage de les maintenir enfermés. Chantal dit : — Et puis quoi encore ? L’infirmier poursuit son idée et commence à déboutonner le bouton suivant. — Ben, ne te gêne pas ! dit Chantal, le laissant faire en se défendant mollement. Il ...
... continue donc et Chantal se retrouve en quelques secondes le corsage totalement ouvert. — T’as vu ce qu’il m’a fait ? dit-elle en riant à une infirmière.— Tu as de la chance, moi, il se désintéresse totalement de moi.— Mais non, viens là ma cocotte ! lui répond l’infirmier. L’infirmière s’approche en se trémoussant et tend sa poitrine. Il lui déboutonne quelques boutons de la blouse blanche et s’écrie : — Là, tu triches, tu as ton soutien-gorge ! Il continue de la déboutonner et fait glisser la blouse sur les épaules de l’infirmière qui se retrouve en slip et soutien-gorge. — À poil, à poil ! crient quelques voix tant masculines que féminines. L’infirmière : — D’accord mais pas toute seule ! Et elle demande à Chantal de l’accompagner. Chantal s’approche d’elle et lui dégrafe le soutien-gorge, lui dégageant une poitrine de jeune fille, avec de petits tétins roses. — Chantal, Chantal ! reprend le chœur. L’infirmière lui fait glisser le corsage et Chantal à son tour est seins nus. — Ça va, vous êtes satisfaits, les mecs ? demandent-elles. Et elles comprennent que non, que ça ne va pas s’arrêter là, car elles entendent : — Encore, encore ! L’infirmière est en culotte, Chantal en jeans. — Commence, toi, dit l’infirmière, enlève le jean ! Chantal commence à déboutonner le bouton du jean, un peu comme dans un strip-tease, en remuant les fesses. Elle fait doucement glisser la fermeture à glissière et s’arrête. Elle se penche, ôte ses baskets, et se met à descendre tout doucement son jean, ...