1. La solution


    Datte: 17/05/2018, Catégories: ffh, 2couples, hagé, couple, extraoffre, amour, intermast, Oral 69, pénétratio, hsodo, échange, amourdura, entrecoup, fbi, hbi,

    ... Laurette ? Tentera-t-elle de me séduire pour faciliter la tâche de son mari ? Ma foi, je ne suis pas contre, j’ai encore sur ma petite queue le souvenir de ses lèvres lors de ma première visite dans son cabinet. Georges repose sa tasse et va se placer derrière Francine, les mains sur ses épaules. Elle reste immobile, la tasse en suspend. Les mains glissent sur le chemisier, descendent vers le renflement de la poitrine. Ma femme me fixe les yeux grands ouverts. Elle ne réagit pas quand Laurette la débarrasse de sa tasse. Je lui souris et lui envoie un baiser du bout des doigts. Elle pousse un soupir et se laisse aller contre le dossier du canapé, acceptant sa défaite. Georges ne s’y trompe pas, il caresse maintenant à pleines mains les seins de Francine et l’embrasse dans le cou. Notre défaite, devrais-je dire, car Laurette vient me rejoindre sur mon fauteuil et tend les lèvres pour un baiser que je ne lui refuse pas… Georges pilonne Francine à grands coups de reins sur le canapé pendant que, ses cuisses sur mes épaules, je broute le minou de Laurette. Elle pousse des petits miaulements chaque fois que je mordille le clitoris. Moi, il y a longtemps que j’ai déposé mon offrande dans la paume de la doctoresse, dès les premières caresses. Les gémissements de plaisir de Francine me dopent et je m’efforce de satisfaire ma partenaire. Doigts, langue, dents, j’utilise tout pour qu’elle reçoive autant de plaisir que ma femme en manifeste. Aïe ! Laurette m’arrache les cheveux. Ça ne ...
    ... fait rien, c’est signe que mes efforts atteignent leur but. J’insiste, elle pousse un fort gémissement presque un cri et s’effondre contre le dossier du fauteuil. Sur le canapé, Georges et Francine, encore soudés l’un à l’autre, peinent à retrouver une respiration normale. Laurette me repousse. Elle se lève, dégage ma femme des bras de son mari et l’entraîne dans la salle de bain. Georges se débarrasse du pantalon et du slip qui encombraient une jambe. — Je crois qu’on ferait mieux de se déshabiller complètement, invite-t-il en ôtant sa chemise. Ce n’est donc pas fini ? Ma foi, pourquoi pas ! Je termine à mon tour de me déshabiller. Ce sont deux hommes à poil qui reçoivent, verre de cognac en main, leurs épouses de retour de la salle de bain. J’ai un éblouissement en les voyant apparaître en tenue d’Ève. Qu’elles sont belles ! Francine est soulagée de nous voir nus aussi. Je devine que Laurette a dû insister pour qu’elle quitte ses derniers vêtements. Elle s’installe à côté de moi sur le canapé, une main gentiment posée sur mon sexe. Je l’embrasse près de l’oreille. — Georges t’a fait jouir, n’est-ce pas ?— Tu m’en veux ?— Pas du tout, ma chérie. Je suis heureux de cette jouissance que je ne peux plus te procurer.— C’est toi que j’aime.— Je sais, et je t’en remercie. Georges lui tend un verre de liqueur. — Tiens, bois ça, ça te fera du bien. Francine trempe les lèvres. — Oh ! C’est bon ! Qu’est-ce que c’est ?— De la Chartreuse jaune. Je suis content que cela te plaise. Laurette ...
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