1. La solution


    Datte: 17/05/2018, Catégories: ffh, 2couples, hagé, couple, extraoffre, amour, intermast, Oral 69, pénétratio, hsodo, échange, amourdura, entrecoup, fbi, hbi,

    ... dépose son verre. Elle s’adresse à ma femme. — Viens par ici, quémande-t-elle. Francine me regarde, je lui donne l’autorisation d’un battement de paupières. Son amie l’attire entre ses cuisses et caresse la poitrine dont les tétons pointent, trahissant l’émoi de mon épouse. Laurette la fait pencher, leurs lèvres se joignent. Georges s’installe à mes côtés. Je sens les poils de ses cuisses me chatouiller. — Tu n’es pas étonné ? me demande-t-il.— Non, je me doutais que ta femme était attirée par la mienne.— Oui, elle est bi. Bi ? Ah oui ! Bisexuelle, amoureuse des hommes comme des femmes. — Euh… moi aussi, murmure-t-il. Pris par le spectacle des deux femmes, je ne relève pas. Sa main glisse sur ma cuisse et tripatouille mon sexe ratatiné. C’est aussi bon qu’avec des doigts féminins. Tout à coup je réalise ce qu’il m’a dit : c’est mon cul qu’il désire ! Non, pas ça ! Je ne suis pas attiré par les hommes, moi ! Je recule jusqu’au coin du canapé. Il me fixe d’un air malheureux. Cela fait resurgir des tréfonds de ma mémoire un épisode que je croyais définitivement oublié. Je me revois de très nombreuses années en arrière dans un studio de la Cité Universitaire ; un copain, après une laborieuse révision en commun, m’avait regardé avec le même air de chien battu et je n’avais pas su résister… Expérience sans lendemain, malgré le plaisir découvert. Georges glisse vers moi, l’œil suppliant. Je le regarde s’avancer, incapable de réagir. Qu’est-ce qui m’arrive ? Le souvenir de la ...
    ... jouissance éprouvée dans mon studio d’étudiant remonte en surface. Je réalise en cet instant que cette incursion dans l’univers homosexuel est restée unique non par conviction mais plutôt par manque d’occasion, la peur du qu’en dira-t-on, par lâcheté même… La main retrouve ma cuisse et remonte doucement vers l’aine. La peau se couvre de chair de poule. Je suis submergé par une évidence : je brûle de retrouver les sensations enfouies profondément dans mon subconscient et j’ai la conviction que Georges saura me les faire redécouvrir. Et puis… Je lui suis reconnaissant du plaisir procuré à ma femme… j’aurais mauvaise grâce de lui refuser la récompense qu’il espère… En signe d’accord, je pose la main sur sa queue qui raidit entre mes doigts. Je pousse un gros soupir : dire qu’il y a quelques mois – une éternité – j’arborais un sceptre aussi triomphant. Enfin, le passé est le passé, jouissons sans complexe du présent ! Georges me retourne à plat ventre contre l’accoudoir du canapé. Sur le fauteuil qui me fait face, Francine reçoit entre les jambes les caresses buccales de Laurette. Nous nous sourions, amusés par la symétrie de nos relations avec nos amis. J’avais raison de ne pas m’inquiéter. Georges est très prévenant, l’introduction se passe sans mal. Le frottement dans mon sphincter n’envoie que des ondes bénéfiques dans mon corps… Oui ! Mon ami, qui devine mon désir, passe le bras sous mon ventre et fait rouler le sexe entre les doigts. Sur le fauteuil, Laurette a réussi à se placer ...
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