Dans les marais
Datte: 19/07/2017,
Catégories:
h,
inconnu,
bain,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
conte,
fantastiqu,
nature,
... quiétude des lieux. Seules quelques petites libellules bleues voltigent dans les airs. Des poissons sautent hors de l’eau pour attraper des insectes. Un léger souffle effleure les roseaux et les tiges herbeuses parsemées ça et là. Les saules et les buissons s’animent à peine. Il est seul dans cette immense verdure humide aux reflets changeants. Il quitte alors rapidement ses chaussures, enlève sa chemise trempée de sueur et défait sa ceinture. Il sent que son ventre est crispé. Entre ses cuisses, sa verge s’est gonflée à la seule sensation d’avoir la peau du corps qui se dénude petit à petit. Il retire lentement son pantalon pour le poser sur le reste de ses affaires, au bord de l’eau. Sa nudité l’excite en se sentant presque animal dans cette nature si belle. Il avance dans l’eau, le sexe tendu au paroxysme. D’une main, il tire le prépuce en arrière pour décalotter son gland rouge et gonflé dans un soupir de plaisir. Puis l’eau vient bientôt gagner son ventre et sa poitrine et Martin se laisse absorber dans une respiration sourde et saccadée. Il met la tête sous l’eau et fait quelques brasses en retenant sa respiration. Tout son corps est bercé et caressé par l’onde douce. Il avance encore au rythme lent de sa nage. Il avance vers d’autres roseaux, d’autres berges et détours que fait le marais au gré des courants. Il nage comme dans un labyrinthe lacustre et vert. Puis il rejoint un bord pour se reposer. Quelques sifflements d’oiseaux et des gouttelettes perlant de son ...
... corps nu tintent sur la surface de l’eau. Martin respire doucement, assis à même la glaise, serein et rempli d’un bien-être total. Les feuilles des arbres font un léger crissement sous le souffle de l’air, mais c’est un autre son que perçoit Martin alors. Il tend l’oreille et tente de bloquer sa respiration pour mieux écouter. C’est un bruit différent qu’il entend de plus en plus net. Quelque chose de pas naturel. Il se crispe. Il est aux aguets. Ce ne sont pas les libellules ni les roseaux, encore moins les feuilles. Il discerne maintenant clairement une sorte de musique, une mélodie, une chanson… Quelqu’un ! Il se blottit en un éclair dans les herbes, en retenant sa respiration. La chanson se rapproche encore de lui, là, tout près. Martin s’inquiète, tremble et essaie de voir qui cela peut être. Il est loin de ses affaires et se trouve pris au dépourvu. Une personne est apparue à quelques mètres de lui, au bord de l’eau. Il espère qu’il restera invisible, accroupi derrière les roseaux. Cette personne pose une sorte de panier à terre, tout en poursuivant son chant. C’est un chant clair, une voix légère, fluette et douce. Martin distingue du tissu, un chemisier blanc qui s’ouvre et tombe sur le panier. Il perçoit une cordelette qu’on détache de la taille pour laisser tomber une jupe ample, un corset qu’on délace, un jupon qu’on fait glisser le long de la taille. Martin découvre une femme, une jeune femme belle et douce qui est en train de se dévêtir totalement. Il la voit ...