La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°977)
Datte: 18/05/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... transforma en torture, car elle m'annonça très vite avec un petit sourire sadique que je n'avais aucun droit à la jouissance. Elle s'acharna sur ce petit bouton gonflé de plaisir, le léchant, le suçant, le mordillant, me mettant à deux doigts de sombrer dans une folie de désirs inassouvis. Cela dura environ une vingtaine de minutes. Je pouvais m'en rendre compte grâce à l'horloge qui trônait dans un angle de la pièce. Elle exigea alors que je me relève et elle se mit à genoux sur la chaise, les bras appuyés sur le dossier, m'ordonnant de lui lécher sa rondelle. Je maintenais ces deux globes charnus écartés avec mes mains, laissais couler un peu de salive dessus et commençais à y passer ma langue, appuyant de plus en plus jusqu'à réussir à la faire pénétrer à l'entrée de sa caverne secrète. Je la fis alors aller et venir, l'enculant de mon petit appendice, et à en croire ses gémissements cela devait lui plaire ! Elle finit même par avoir un orgasme anal. C'était la première fois que je provoquais un tel effet avec ma langue dans un anus, et j'en ressentis une certaine fierté… À nouveau nous échangeâmes nos places et je retournais prendre la même position que précédemment sur la chaise, sauf qu'au lieu d'avoir les pieds au sol, elle exigea que je place mes mains derrière les genoux, me maintenant ainsi les jambes en l'air et bien écartées et exhibant ainsi largement mes parties intimes. Elle se mit alors en position de squat face à moi et m'enfonça sans ménagement son gode ...
... ceinture au fond de ma chatte. Il avait séché depuis le moment où je l'avais eu en bouche, mais ma chatte était bien assez imbibée de cyprine pour qu'il puisse rentrer sans le moindre effort. Elle me baisa ainsi mais sans brutalité, en douceur, lentement et profondément durant de longues minutes quand elle se mit, tout d’un coup, à s’activer plus rapidement dans une cadence démesurée qui devenait de plus en plus inquisitrice, profonde, rapide. La Domina me besognait sans ménagement tout en m'embrassant ou me claquant les seins ou les joues, parfois même en me serrant douloureusement le cou sans toutefois rendre cela dangereux. Puis elle reprit la chaise, s'assit dessus et exigea que je m'empale par le cul sur son sexe factice. S'ensuivit une chevauchée qui la projetait toujours plus loin au fond de mes entrailles dans une saillie profondément torride. Encore une fois se mélangea plaisir, douleur et frustration, car alors que je montais et descendais sur elle, elle me triturait mon clito qui aurait pu exploser tellement il était gonflé. Lorsqu'elle s'arrêta j'étais épuisée ! Elle me poussa au sol, exigea que je reste prostrée comme j’étais tombée, sans bouger. Alors elle se mit en position accroupie sur mon corps et me pissa dessus, avant d’exiger que je ne nettoie le sol de ma langue. - Bien, tu t’es bien comportée, la chienne ! Mon rapport à Monsieur le Marquis d’Evans sera favorable. Maintenant, tu me suis, nous retournons dans la maison. Je la suivis à quatre pattes et comme à ...