Ma très chère belle-maman
Datte: 19/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
amour,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
confession,
bellemere,
... très bricoleur, avait installé une douche près des toiles de tentes. Cette dernière était réalisée comme une cabine de plage, en toile recouverte extérieurement de canisses, petit roseaux liés les uns aux autres par du fil de fer et utilisés comme brise-vent ou brise-vue. Le réservoir en plastique noir et la pomme de douche étaient composés d’éléments de récupération car il n’y avait pas d’eau chaude. Nous étions déjà à l’heure écologiste, le soleil d’été se chargeait du reste… Le luxe ici, c’était d’avoir le service d’eau. Une petite ampoule suspendue au-dessus du compartiment, éclairait l’intérieur afin de permettre à celui ou celle qui voulait se doucher à la tombée de la nuit, d’y voir sans problème. Le hic, c’est qu’une petite partie de la toile ne joignait pas et laissait filtrer un rai de lumière. Pas gênant dans la journée mais la nuit… Cela fut suffisant pour attirer mon attention un soir et jouer au voyeur. Ma belle-mère se lavait et je pus la voir et la contempler à loisir sans qu’elle ne se doute de rien. J’ai ainsi pu admirer ses formes, ses seins, son sexe que je découvris pour la première fois. Elle avait un sexe légèrement poilu, à l’époque l’épilation ne se pratiquait pas vraiment. Dommage ! Mais j’étais à nouveau pris d’une terrible érection et fut malgré tout obligé de me masturber dans la plus stricte discrétion, tout près d’elle. Ma jouissance fut très abondante et je crois bien que je n’avais pas connu ça depuis longtemps. Je ne compte plus le nombre ...
... de fois où, faisant l’amour avec ma compagne, le souvenir du corps de belle-maman me hantait et j’imaginais que c’était avec elle que je baisais. J’en avais un peu honte mais le fantasme étant plus fort, je ne tardais pas jouir et éjaculer avec une force inouïe. Les années passèrent avec les mêmes fantasmes mais je me contentais seulement de l’observer dès que c’était possible. Je ne compte plus le nombre de fois où, vêtue d’un chemisier blanc très transparent, je pouvais apercevoir son soutif et ses deux pointes de seins très sombres qui dardaient à travers l’épaisseur des tissus. Mon beau-père décéda quelques années plus tard et nous passions la voir ou lui téléphonions très souvent afin d’essayer de lui remonter le moral. Un jour, j’ai décidé qu’une visite serait plus bénéfique qu’un simple appel téléphonique. Elle habitait dans un lotissement d’une vingtaine de maisons à quelques kilomètres de chez nous. Griffonnant un message à l’intention de ma compagne afin de la prévenir du motif de mon absence, je me rendis aussitôt chez ma belle-mère. En à peine une demi-heure, je me trouvais devant la porte de son pavillon, ému et ne sachant trop comment appréhender cette visite. J’allais enfin me retrouver seul avec elle mais la situation était malgré tout assez gênante. Surprise par le timbre de la sonnette de la porte d’entrée, se demandant qui pouvait bien venir lui rendre visite, Thérèse abandonna son repassage qui lui permettait de s’évader un petit peu, pour se hâter d’aller ...