Ma très chère belle-maman
Datte: 19/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
amour,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
confession,
bellemere,
... ouvrir à ce visiteur inattendu. Découvrant ma silhouette, celle de son gendre préféré comme elle le disait si souvent en rigolant, elle se jeta à mon cou, m’embrassant passionnément, heureuse de ma visite : — Oh mon Romain ! Tu es venu… Je suis tellement contente… Mais entre mon grand… Ne reste pas là !— Je ne te dérange pas, au moins, lui répliquai-je…— Je regardais un feuilleton insipide en repassant… Suivant belle-maman, j’arrivai à la cuisine. — Quel hasard !… Qu’est-ce qui t’amène ? questionna Thérèse.— J’avais envie de te voir, te réconforter !— Comme c’est gentil, tu veux boire quelque chose ?— Un petit café ? Nous étions toujours dans le hall d’entrée, debout face à l’autre. Ne pouvant contenir son chagrin et l’angoisse qu’elle portait en elle depuis le décès de son mari, Thérèse laissa éclater son désarroi encore présent dans son esprit et trop longtemps contenu. Elle se jeta littéralement à mon cou, s’accrochant désespérément et éclata en sanglot. Ému par la détresse de ma belle-mère pour qui j’éprouvais une immense compassion, j’ai tenté de la consoler, lui murmurant des petits mots de réconfort à l’oreille, lui embrassant tendrement la joue, le cou, la serrant affectueusement contre moi. Ces marques d’affection ne firent qu’accroître encore ses sanglots. Un peu désemparé, pris d’une certaine compréhension et compassion, j’entrepris alors de lui tapoter doucement le dos, commençant à la caresser pour marquer mon affection. Par ces gestes, je voulais lui faire ...
... comprendre que je compatissais son malheur, à sa douleur. Peu à peu, les sanglots s’estompèrent pour devenir de plus en plus espacés. Lentement Thérèse se calma, restant blottie contre mon épaule. Ravi de constater que ses sanglots commençaient à s’espacer, je continuai néanmoins mes tendres caresses. — Laisse toi aller, je suis là pour d’aider, je suis avec toi, lui répliquai-je.— Merci Romain, murmura-t-elle entre deux sanglots… Tu es un amour… Je restai un bon quart d’heure ainsi, tendrement enlacés ; Thérèse reprit lentement ses esprits toujours plaquée contre mon torse, mais je continuais doucement à frôler tendrement son dos. Dans ces effleurements pourtant bien anodins, je sentais l’agrafe de son soutien-gorge à chaque fois que mes doigts passaient dessus. La découverte de ce détail vestimentaire me fit prendre conscience soudain que depuis un moment, ses seins, qui avaient alimenté mes fantasmes pendant des années, s’écrasaient mollement contre ma poitrine. Malgré l’épaisseur de nos vêtements, je pouvais sentir avec émotion, la douceur moelleuse des ses deux globes charnus contre moi. Cela me procura une sensation très agréable mais bizarre à la fois. Un sentiment fait d’excitation et de honte en même temps : excitation provoquée comme je le disais par ces deux fruits délicieux et honte d’éprouver ce genre d’attrait sexuel dans un pareil moment, pour cette femme qui venait de perdre son mari. Le contact terriblement sensuel de ses seins contre mon torse, me travaillait ...