1. L'emprise des regards - Episode 1 : Chambre 307


    Datte: 19/07/2017, Catégories: ff, jeunes, rousseurs, médical, amour,

    Au volant de sa voiture décapotable bleu vif, et sous un soleil radieux, Nathalie se délectait de la caresse du vent sur son visage. Elle était encore en colère après la dispute qu’elle venait d’avoir avec Julien 10 minutes auparavant, et ce souffle d’air soulevant ses longs cheveux lisses lui faisait le plus grand bien. Les disputes devenaient de plus en plus fréquentes et Nathalie commençait à se demandait pourquoi elle restait avec un garçon comme Julien. Il n’avait aucune douceur, aucun tact, et les rares marques d’attention qu’il lui témoignait n’était qu’un prétexte pour assouvir ses désirs sexuels, ce qui l’avait amusée au début, mais qui maintenant ne lui faisait plus rien. D’ailleurs elle n’avait plus eu d’orgasme avec lui depuis longtemps et préférait encore les plaisirs solitaires (qui eux au-moins n’était pas ponctués de mots vulgaires et d’insultes à son égard). Elle prit à droite au carrefour et se dirigea vers le centre hospitalier, où elle travaillait comme infirmière. Elle s’arrêtât au parking réservé aux employés et descendit de la voiture. Sa longue robe blanche était bercée par les souffles de vent irréguliers et découvrait ses fines et douces jambes au fur et à mesure qu’elle avançait. Elle poussa la lourde porte de l’hôpital et entra. La jeune femme de l’accueil l’interpella : — Salut Nathalie, ça va ?— Pas génial ! On s’est encore engueulés avec Julien !— Encore ! Ca devient vraiment lourd là ! Excuse-moi mais je comprends vraiment pas pourquoi tu ...
    ... restes avec lui !— Moi non plus en fait…………….Enfin, sinon a part ça du nouveau ?— Heuu……Oui, on a eu une urgence cette nuit, une jeune femme a été trouvée étendue sur le bord de la route, elle s’est fait renverser par une voiture, elle a les deux bras cassés et des coupures tout le long de son dos. On ne sait pas encore son nom elle n’avait aucun papier sur elle ; pour l’instant on attend qu’elle se réveille. En attendant il faut que tu ailles vérifier sa perfusion et que tu surveilles si son état est stable, elle est dans la chambre 307.— D’accord, c’est tout ?— Non, après tu as tes patients habituels à aller voir comme tous les jours ! Et oui ils sont toujours là ! Nathalie lui adressa un sourire et traversa le grand hall blanc donc les dalles reflétaient les rayons de soleil du matin, passa derrière le long comptoir et se dirigea dans la pièce de service où étaient entreposées ses affaires (ainsi que celles des autres infirmières bien entendu). Elle ouvrit son casier et jeta un œil aux alentours pour être sûre que personne ne la regarde, puis enleva sa robe pour passer son uniforme blanc, trop petit à son goût. En effet le chemisier avait l’air de ne pas être à la bonne taille, si bien qu’elle se trouvait légèrement comprimée (du fait de sa poitrine qu’on pourrait qualifier de généreuse). Elle avait bien dit à son supérieur qu’elle aurait aimé le changer mais ce dernier avait dit que cela la mettait en valeur et qu’il ne voyait pas pourquoi il le changerait. « Celui là alors ! ...
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