Le jour de mon mariage ...
Datte: 20/05/2018,
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Dans la zone rouge,
Rien n’est plus doux qu’un libertinage assumé. Et assumé dès le début de ce qui, pour certains esprits étriqués et médiocres, en sonne le glas : le mariage. Je voulais être l’homme le plus prompt de l’histoire à tromper sa femme. Cette perspective m’enthousiasmait au-delà des mots. Je voulais que cette conne, Léa, qui allait devenir ma tendre épouse, soit – à son insu – humiliée plus vite et plus fort que quiconque le fut jusqu’alors. Le stratagème a fonctionné à merveille et se déroula sans accroc le jour de note union sacrée. Pendant que le nous étions cote à cote, Léa et moi, devant le maire qui célébrait la cérémonie, je commençais à imaginer que cette pute serait bientôt cocue. Cela me fit instantanément bander. Il fallait que je sois prêt pour ce qui allait suivre. Mon sexe s’est tendu si fort que je craignais d’attirer l’attention. Je ne pensais plus du tout aux mots prononcés par l’officiant, mon esprit entièrement tendu vers le vice délicieux de ce qui avait été échafaudé. Je m’étais arrangé pour que la cérémonie se termine juste après les mots fatidiques prononçant le mariage. Dès que nous passons nos alliances à nos doigts, que nous sommes officiellement mari et femme, je déclenche donc secrètement le chronomètre de ma montre. J’embrasse ma jeune, très belle et très pure épouse en lui murmurant à l’oreille « je suis à toi seule pour toujours, aucune autre femme ne comptera jamais pour moi ». Je pus alors lire un ravissement confiant sur son visage qui me fit bander ...
... au-delà de l’imaginable, sachant ce qui allait advenir. Quelques secondes plus tard, nous sortons avec les convives de la salle d’office pour nous rendre dans celle, voisine, où était installé le buffet de la réception. Avec un sourire, je précise à Léa qu’il me faut m’absenter quelques instants pour satisfaire un besoin pressant. Pressant, le besoin l’était en effet ! Mon sexe tendu comme jamais n’en pouvait plus. Je courre jusqu’aux toilettes situées pourtant à moins de 10 mètres. Là, Louise, la sœur cadette de Léa, âgée de tout juste 18 ans et complice de ma manigance, m’attend. Sur ses talons immenses, vêtue d’une jupe bleu électrique insolemment courte et d’un chemisier ne parvenant pas à dissimuler sa large poitrine encore naissante, elle me regarde avec une sublime perversité. Nous entrons dans la cabine « femmes », j’ouvre ma braguette aussi vite que je le peux. Louise se penche en avant, me laissant admirer ses trous non dissimulés par la moindre culotte, entièrement offerts, et dit avec sourire mutin et malin : - va dans mon cul, c’est plus serré, tu déchargeras plus vite. Je viens de me lubrifier à la mouille. Sodomise moi comme un porc. Sans mot dire je plonge vigoureusement ma queue d’un coup de rein sec et puissant au plus profond de son fion en interrompant mon chronomètre : 58 secondes ! Moins d’une minute après mon mariage j’avais réussi à tromper ma femme. Cette pensée m’excitait plus encore que le corps sublime de Léa qui se penchait au-dessus des chiottes ...