1. Le jour de mon mariage ...


    Datte: 20/05/2018, Catégories: Dans la zone rouge,

    ... pour me laisser le loisir de l’enculer sans frein. - penser à ma sœur, si romantique et si heureuse de son mariage, suffirait presque à me faire jouir, suffoque-t-elle entre deux couinement de chienne. Défonce moi. Putain, c’est si bon de savoir que tu viens de te marier et que tu me bourres sans limite alors que ta connasse de femme t’attend avec tous les invités à quelques mètres … Jouis vite maintenant, tu dois y retourner … J’attrape les longs cheveux blonds de la jeune Louise, je les tire brutalement en arrière, et laisse un vif jet de foutre emplir son cul bien serré. Je regarde à nouveau ma montre : tout juste 2 minutes et 7 secondes après l’union ! Je souris de fierté. Louise commente : - ce que nous avons accompli touche au sublime. Mais tu as été si brutal, je vais avoir du mal à m’asseoir pour la suite de la fête ! J’adore quand tu me détruits l’anus comme ça. Je reste ici quelques instants : je vais me finir à la main, il faut que je me branle la moule maintenant, c’est vital … - Bien, lui dis-je. Suce d’abord ma bite pour me nettoyer, que je puisse ma rhabiller. Elle s’exécute, passant méticuleusement sa langue sur mon gland et aspirant les gouttelettes de sperme qui perlaient encore. - Tu es vraiment la dernière des putes, Louise. - Merci, me répond-elle avec un sourire extatique qui illumine son visage encore juvénile. Va retrouver Léa, ta petite femme. Je rejoins rapidement l’assemblée des invités. Serre quelques mains. Échange quelques mondanités. Goutes ...
    ... les gâteaux d’apéritif. Quelques minutes plus tard, Louise rejoint la foule qui se presse autour du buffet. Sa tenue si provocante ne manque pas d’attirer les regards. A commencer par ses talons interminables qui n’entravent en rien sa démarche sensuellement nonchalante. Elle s’approche de moi et, discrètement, passe son doigt manifestement trempé sur mes lèvres. - je voulais que tu aies mon jus de chatte sur les lèvres quand tu embrasseras Léa. Ma conne de sœur ne s’en rendra pas compte, j’en suis certaine ! Émoustillée par cette belle idée, je me presse vers mon épouse. Je lui déclare mon amour éternel et exclusif. Je lui jure une fidélité sans faille et l’embrasse tendrement. Elle s’accroche à mes lèvres avec passion et suce ainsi, en l’ignorant, la cyprine encore chaude de sa petite sœur. Je recommence instantanément à bander … Mon téléphone vibre. Louise m’a envoyé un SMS : « regarde ma cuisse droite, regarde la goute qui coule dessus. Je mouille tellement de ce que nous venons de faire que sans culotte je ne parviens plus à contenir … ». Mon ravissement atteint son apogé. Elle marche vers moi et, juste en passant, susurre à mon oreille : - je m’isole 3 minutes, tu vas aimer … Ces quelques minutes d’attente me semblent durer une éternité. Je regarde Léa, ma tendre femme, et me délecte déjà à l’idée de la baiser violemment tout à l’heure. Elle comprendra que je vais la traiter comme une chienne. Une esclave. J’imagine le raffinement des humiliations à laquelle je la ...