1. Une rencontre fortuite (2)


    Datte: 20/05/2018, Catégories: Lesbienne

    ... une bouteille de rosé. Véronique fit encore preuve d’une maîtrise qui me laissait envieuse en lui tendant le tire-bouchon. En passant devant elle pour rejoindre la table, je lui susurrais à l’oreille : — Tu ne perds rien pour attendre — J’espère bien, dit-elle en éclatant de rire Nous étions assises l’une en face de l’autre et nous poursuivions une conversation sans grand intérêt. Elle me regardait avec un petit sourire narquois, qui me laissait penser que je m’étais faite abuser. Elle avait tout planifié, et j’étais tombée dans son piège avec un ravissement sans égal. Je devais lui sourire béatement lorsqu’elle me fit remarquer que mon décolleté n’était plus aussi convenable qu’au début du repas. J’accentuais alors son échancrure me lançant ainsi dans une opération séduction. La voir lorgner sur ma poitrine ne fit que renforcer mon excitation. Mes pointes de sein étaient saillantes, et je me penchais légèrement pour qu’elle puisse en profiter. Je ne suis pas d’un naturel exhibitionniste, mais je voulais me rendre la plus attrayante possible. Me débarrassant de mes chaussures, je m’enhardis à poser le pied contre sa cheville. La proximité de nos époux respectifs rendait la situation encore plus scabreuse. Au début, elle ne broncha pas, mais lorsque mon pied remonta le long de son mollet, je la vis tressaillir. J’avais enfin une emprise sur elle. Il ne faut pas oublier que quelques heures auparavant je nageais en plein doute quant à l’avenir de notre relation. Son attitude ...
    ... dans la cuisine avait été sans équivoque. Je brûlais de désir à répondre à la provocation par la provocation. Mon pied avait atteint et dépassé le genou et se frayait un chemin entre ses cuisses qui s’écartaient imperceptiblement. C’était notre premier contact charnel et je remerciais intérieurement Véronique de m’avoir fourni un ultime rempart empêchant ainsi mon émoi de tacher ma robe. Ce n’était plus son cas. Elle dut voir une lueur perverse traverser mon regard parce qu’elle rougit en baissant les yeux tandis que mon pied poursuivait sa progression. Elle écartait maintenant très largement les cuisse donnant ainsi un assentiment à mon intrusion. Mes orteils entrèrent en contact avec son pubis et je la vis respirer de façon saccadée. Trop absorbés par leur discussion politique, nos maris ne se doutaient de rien. C’est le moment que je choisis pour débusquer son clitoris avec le gros orteil. Je le fis rouler, et il doubla de volume en quelques secondes. Véronique ne tenait plus sur sa chaise. Le regard vissé dans le sien je pouvais voir monter la vague qui n’allait pas tarder à la submerger. Elle se leva brusquement prétextant devoir faire le café, et elle se précipita dans la maison. Une auréole ornait sa robe blanche au niveau des fesses. Je me décidais alors à la suivre. Personne dans la cuisine, j’entendis de petits bruits dans le couloir dans lequel je m’engageais. Dans sa précipitation, Véronique avait laissé la porte des toilettes entrouverte. Assise sur la cuvette, elle ...
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