1. Une rencontre fortuite (2)


    Datte: 20/05/2018, Catégories: Lesbienne

    ... l’avoir volontairement chargé pour détendre l’atmosphère. Assis tous les quatre autour de la table basse, il était difficile de trouver l’intimité que nous souhaitions pour échanger. La discussion était animée, mais je n’avais d’yeux que pour Véronique, plus rayonnante que jamais. Assise en face de moi, elle décroisait régulièrement les jambe, ce qui dévoilait ses cuisses de plus en plus. Bien que sa robe eut été doublée, je voyais poindre sa poitrine sous le tissu tendu. J’en venais à regretter de ne pas avoir mis de culotte lorsque Véronique me demanda de l’accompagner à la cuisine. Grisée par l’alcool, je me levais pour me lancer à sa poursuite. Arrivées dans la cuisine, Véronique me lança : — Tu es particulièrement en beauté aujourd’hui. Est-ce parce que nous sommes dimanche ? — Je pourrais te retourner la pareille, répondis-je en rougissant — Nous n’avons pas pu finir notre discussion vendredi après-midi — Ah oui ? Et de quoi parlions-nous ? Fis-je espiègle — Du fait que tu souhaitais créer un lien entre nous… Une sensation particulièrement agréable et devenue familière me prit le bas ventre. — Que voulais-tu savoir ? — Ce que tu avais ressenti j’admirais le calme avec lequel elle me chauffait les sens, les yeux dans les yeux. Il était impossible qu’elle ne soit pas dans le même état que moi. Pourtant, elle donnait le change avec un contrôle impressionnant. — Je pense que tu le sais déjà, répondis-je avec une attitude effrontée. Touchée la belle, je la vis enfin ...
    ... s’empourprer. — Je l’imagine, mais je préférerais que cela vienne de toi. — J’ai pris beaucoup de plaisir à porter ta culotte, au propre comme au figuré. — Cela veut dire ? — Que lorsque je te l’ai rendue, elle n’était pas aussi propre que lorsque je l’ai trouvée. — As-tu ressenti quelques émois en l’ayant sur toi ? — Peut-être même plus… — Te serais-tu… satisfaite avec elle ? Sa voix devenait de plus en plus rauque. — C’est possible… Me regardant droit dans les yeux, elle releva sa robe. Elle exhibait l’objet de toutes mes convoitises. — J’ai vu que tu n’en avais pas, je vais donc te faire cadeau de la mienne pour que tu la portes à nouveau. Je n’en croyais pas mes oreilles ! Elle baissa sa culotte sensuellement me faisant découvrir son petit buisson taillé bien ras. Je discernais une tache sur l’entre-jambe qui me paraissait peu équivoque Elle s’agenouilla devant moi, souleva une de mes jambes, puis l’autre pour faire monter son bien le plus intime le long de mes cuisses. Lorsque la culotte entra en contact avec mon sexe, je sentis son humidité sur mes lèvres, ce qui me fit partir dans un orgasme sans même qu’elle m’ait touchée. Je crus défaillir et je me rattrapais juste à ses épaules pour ne pas tomber. Elle se releva un grand sourire aux lèvres. — C’est bien ce que je pensais, tu peux la garder jusqu’à ce soir, dit-elle en passant un doigt sur ma joue. Encore tremblante, j’avais de la peine à rassembler mes esprits. Les garçons avaient pris place à table et Paul vint chercher ...
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