Avant-première
Datte: 21/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
voyage,
amour,
fsoumise,
jalousie,
Oral
pénétratio,
fdanus,
champagne,
humour,
... variés vont bientôt cesser.— Je crois que vous avez raison.— Et, compliment pour compliment, vous avez la chance d’être marié à une femme à la fois belle et cultivée.— Oui, c’est vrai, me répond-il sans réelle conviction. Pour ajouter instantanément, mais avec beaucoup plus de force cette fois-ci : — Et c’est en plus une excellente mère de famille : elle adore les enfants. Je m’attendais à ces petites pointes en direction de sa femme. Il la reconnaît dans de nombreux domaines, mais surtout pas comme une amante, une femme avec qui on peut baiser comme un fou. Maria est aussi dans la cour et, de toute évidence, elle nous y attend pour nous conduire à l’atelier. Je pense à tort que Georges va me tenir quelques propos sur elle, mais calme plat. La discrétion semble de rigueur. Une fois le groupe des trois femmes rejoint, Georges fait rapidement les présentations. D’entrée de jeu, Mélanie se met à tutoyer Bernadette qui, surprise, se met à la tutoyer elle aussi. Se rendant compte de la situation, Georges intervient à la volée : — Dans la société, beaucoup se tutoient, même les cadres. Alors, Philippe, n’hésitez plus.— Georges, je n’ai aucune hésitation, mais je ne veux gêner ni votre femme, ni votre collaboratrice, dis-je encore plus faux-cul que jamais.— Moi, ça ne me pose aucun problème de te tutoyer, m’affirme Maria avec une pointe d’autorité. Ici, d’une manière générale, je tutoie tout le monde.— Tu peux me tutoyer aussi, me déclare à son tour Bernadette, encore plus faux-cul ...
... que moi. Bernadette est radieuse : à la demande de son mari, elle va pouvoir désormais me tutoyer en public sans se poser de questions. En se dirigeant vers l’atelier, Mélanie marche à côté de moi, très fière d’elle, la poitrine bien bombée en avant. Pendant ce temps j’observe Maria très en détail. Cette femme semble avoir quelques années de plus que Bernadette. Elle porte un pantalon de toile bien coupé et une chemise assez cintrée. Mince, d’allure féminine, elle a des petites fesses bien rondes et une poitrine du type ni trop, ni trop peu. Son visage a un air très décidé, mais un peu pincé. C’est une femme typée, elle a du chien, beaucoup de chien. Une maîtresse femme en quelque sorte. Sa manière d’être et de parler montre que c’est une femme d’un milieu simple, mais d’une ambition débordante, le genre de femme à faire sortir un homme de sa coquille. En deux mots, c’est une femme qui sait y faire, comme le disait Bernadette au restaurant ce midi. Rien ne ressemble plus à un atelier de petite électromécanique qu’un autre atelier. Mais celui-là à une particularité : il y fait particulièrement chaud. Bien que de nombreuses ouvrières disposent d’un ventilateur, la « clim » serait un plus. Maria m’emmène dans une grande pièce séparée où travaillent deux femmes qui paraissent d’une petite cinquantaine. Elles portent une blouse verte en tissu assez épais et un bonnet de coton pour les protéger des poussières de fer et de cuivre. — Montrez à notre ingénieur de contrôle les quelques ...