Avant-première
Datte: 21/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
voyage,
amour,
fsoumise,
jalousie,
Oral
pénétratio,
fdanus,
champagne,
humour,
... pour Lautrec avec Mélanie. Pendant le trajet elle me confie qu’elle a eu deux copains et deux aventures de vacances.Arrivés à Lautrec elle me présente à ses parents, à son chien, un magnifique berger belge Tervuren et me fait visiter sa chambre. À cette occasion, je lui demande de se caresser devant moi avant de partir à mon travail. Elle semble très mordue.Arrivé à l’usine, le patron, puis ma direction me donnent leur accord pour régler in situ deux « manquements mineurs » que j’ai détectés sur des programmes informatiques. Cela me permettra de rester à Castres jusqu’au 16 juillet et de consacrer à Mélanie les deux premiers jours du long week-end du 14 juillet, pour une virée à Peyrepertuse.À midi je déjeune à Castres avec Bernadette, la femme du patron. C’est une belle femme, très distinguée et très cultivée. Elle me fait visiter la place Jean Jaurès et les maisons des artisans sur l’Agout.Le soir, Mélanie me donne rendez-vous à Lavaur pour visiter la cathédrale et faire un tour de ville. Dans le square, face à la cathédrale et dissimulés derrière un arbre, elle me fait une fellation du « feu de Dieu ». Plus tard, elle me fait voir son ancien lycée situé dans les faubourgs de Lavaur, à Flamarens. En guise d’adieu à sa vie de lycéenne, nous faisons l’amour en face, dans ma voiture.De retour à Lautrec, après un repas bien arrosé, Mélanie me montre comment elle "tire un coup", un jeu qu’elle avait l’habitude de faire avec son ex-copain. Je fais semblant de très ...
... mal le prendre en lui précisant qu’elle mériterait une bonne fessée et qu’à mon âge avancé (trente ans), je préfère prendre mon temps. La fin de nuit très classique est « top » du « top ».Épisode n° 3 « Peur et désir » :Le téléphone arabe fonctionne admirablement. En moins de vingt-quatre heures Bernadette, la femme du patron de l’usine de sous-traitance que je contrôle, a été mise au courant de l’aventure quelque peu passionnée que j’ai avec Mélanie. À l’occasion du déjeuner, elle se livre à une véritable confession sur sa vie et m’avoue qu’elle aimerait bien prendre sa place.Après ces propos, je lui pose la seule question qui vaille : « Bernadette, parlons peu, mais parlons bien : si je peux organiser une petite escapade à deux avant votre départ en vacances, avec un alibi en béton et dans la plus totale discrétion, vous êtes partante ? » Après un petit temps de réflexion, elle m’affirme sur un ton très résolu : « Si c’est sans aucun risque : oui ! »J’insiste pour qu’on continue à se vouvoyer pour limiter les soupçons.Sur le chemin du retour, Bernadette fait un détour par une petite route qui n’a pour seule issue qu’une vieille friche industrielle. Éloignés de tout regard et à l’abri de toute écoute, nous passons nos premiers chauds instants, mais sans faire l’amour.Ayant taché son pantalon avec de la terre et de l’herbe, je suggère à Bernadette d’aller se changer et de mettre une jupe avec un chemisier, ce qui est plus pratique pour le fouineur que je suis. ...