Avant-première
Datte: 21/05/2018,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
voyage,
amour,
fsoumise,
jalousie,
Oral
pénétratio,
fdanus,
champagne,
humour,
... est un peu moins de six heures et demie. Le musée ferme ses portes et ses salles ; la visite est terminée, il nous faut donc partir. Nous montons tous les trois dans la voiture de Bernadette pour retourner à l’usine. — Tu mets combien de temps pour retourner à Lautrec en scooter ? demande Bernadette à Mélanie.— Un peu moins d’une demi-heure, lui répond Mélanie. De retour à l’usine, nous nous dirigeons vers le local à vélos dans lequel se trouve le scooter de Mélanie, qu’elle sort et met en marche. — Bon retour, lui glisse Bernadette. Je m’attends à ce que Mélanie me fasse la bise et me demande à quelle heure je compte arriver à Lautrec, mais non. Mélanie met la béquille de son scooter et se dirige vers Bernadette pour lui faire la bise, comme deux amies de longue date. Bernadette se tourne alors vers moi pour me dire : — Avant de faire tes cours de stats à Lautrec, j’aimerais qu’on lise une dernière fois ton rapport. Demain, on va manquer de temps, surtout à Albi.— Philippe, n’oublie pas qu’il faut qu’on soit à huit heures au plus tard dans la salle de l’association à Lautrec, me rappelle Mélanie… et tu dois passer chez mes parents avant.— Ne t’inquiète pas, Mélanie, il n’y a aucun problème ; je serai à l’heure.— Oui, je lâcherai Philippe dans trois quarts d’heure, affirme Bernadette ; il devrait arriver à Lautrec aux alentours de sept heures et demie… allez, huit heures moins le quart au plus tard.— Alors à tout à l’heure, me lance Mélanie en démarrant son scooter, sans ...
... prendre le temps de m’embrasser. Mélanie une fois partie, Bernadette et moi nous dirigeons vers son bureau. C’est alors que je lui lance en montant l’escalier : — Dis donc, tu deviens un brin autoritaire avec moi en public.— Oui, ça aussi ça fait partie de l’alibi.— Fais attention au retour de bâton sur la partie charnue de ton individu.— Tu ne t’imagine tout de même pas qu’à mon âge j’ai encore peur de tes menaces de punition ? La Bernadette de ce matin et la Bernadette de maintenant n’ont vraiment plus rien à voir. Comme quoi une petite partie de jambes en l’air peut tout changer dans une relation. De retour dans son bureau, je donne lui donne la claque sur les fesses que j’avais tant envie de lui donner et je lui demande, étonné : — C’est quoi, ton histoire de rapport ?— Ce n’est rien : j’ai simplement très envie qu’on rebaise comme des fous.— Mais quel vocabulaire, Bernadette… Tu te lâches !— C’est toi qui as prononcé ce mot en premier. Sans prendre le temps de faire tourner ma langue sept fois dans ma bouche, je rétorque à Bernadette sur un ton certainement beaucoup trop sec : — Malheureusement, c’est hors de question… et tu dois te douter pourquoi. C’est alors que le regard de Bernadette change. Il mêle colère et agressivité. — Tu gardes des forces pour ta jeune Mélanie, me réplique-t-elle sèchement ; avec elle, tu ne dois pas t’embêter… C’est vrai que c’est une belle plante.— Oh, dis donc, tu ne vas pas me faire une crise de jalousie, par hasard !— Tu m’as quand même pas ...