1. Avant-première


    Datte: 21/05/2018, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail voyage, amour, fsoumise, jalousie, Oral pénétratio, fdanus, champagne, humour,

    ... Bernadette me confie des choses aussi intimes que surprenantes. Je n’en connais pas encore assez pour bien la comprendre ; je maintiens donc la discussion : — C’est rare comme démarche.— Maria aussi voulait tout rompre avec son mari, m’affirme Bernadette, très sûre d’elle.— Elle a les moyens de les élever seule ?— Mon mari est leur parrain et il leur donne un sérieux coup de main sur le plan financier.— Ah bon !— Oui, il paie leurs études, me confie-t-elle… et une grande partie du reste aussi. Avec ce que je viens d’apprendre, une dernière question me démange : — Et quelles sont les relations entre tes enfants et ceux de Maria ?— Excellentes. Ils se voient très souvent, ils sont dans les mêmes écoles. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression que Bernadette a oublié de me dire le principal sur cette fameuse Maria. Si le mari de Bernadette a pris Maria comme maîtresse dès la première grossesse de sa femme, il est fort possible que le fils aîné de Maria et sa fille soient aussi de lui. Cela permettrait d’expliquer le refus par Maria d’une pension alimentaire de son ex-mari, les enfants de son ex-femme n’étant pas de lui. Cela expliquerait aussi le fait que le mari de Bernadette soit le parrain des deux enfants et qu’il prenne en charge leur éducation, dans les mêmes établissements que les enfants qu’il a eus avec Bernadette. Dans ce cas-là, le mari de Bernadette n’aurait pas une femme et une maîtresse, mais deux femmes, avec des rôles bien précis et des enfants des deux ...
    ... côtés. Bernadette serait l’épouse « enfants, éducation et culture » et Maria « amante et codirection de l’usine ». Mais là, je me hasarde beaucoup trop loin dans ce qui pourrait être un gros secret de famille. J’aurais de plus aimé savoir si les deux enfants de Maria vont aussi en vacances à Cadaqués. Si tel était le cas, mon hypothèse serait la bonne ; mais là, c’est être trop indiscret. Je ne poserai donc pas la question aujourd’hui. Je le découvrirai certainement à une autre occasion. Pour en revenir à des propos plus en rapport avec ma présence dans le bureau de Bernadette, je pose une dernière question qui me concerne quelque peu : — Et pourquoi tu ne te cherches pas un amant ?— Parce que je viens d’en trouver un.— Ah bon ! dis-je, complètement abasourdi. Et tu le vois souvent ?— Non, pas encore très souvent, puisque c’est toi, me déclare Bernadette très sûre d’elle en me fixant droit dans les yeux.— Mais j’habite Paris : ça ne va pas être facile de se voir.— Non, mais ce n’est pas impossible. Il me faut simplement un prétexte… et crois-moi, j’en aurai plusieurs. En deux mots, avant même d’avoir mis en action mon « alibi en béton », je viens de me faire mettre le grappin dessus par Bernadette. Mais la voir une fois par mois à Paris ne fait pas partie des choses désagréables ; je dirais même que cela fait partie des bonnes choses de la vie. Maintenant, assez parlé. Il est temps de passer à des choses plus sérieuses avec cette femme que j’ai déjà fait jouir quatre fois et ...