1. Avant-première


    Datte: 21/05/2018, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail voyage, amour, fsoumise, jalousie, Oral pénétratio, fdanus, champagne, humour,

    ... et appuyés. — Tu as déjà fait l’amour sur une chaise avec Mélanie ? me demande-t-elle avec une voix de jeune première.— Mais pourquoi tu me demandes ça ?— Pour ne pas passer pour une nunuche par rapport à elle.— Ça devient une véritable obsession, chez toi… Mais rassure-toi, avec toi c’est une « avant-première ». Je constate que les petites séquences érotiques ne laissent pas ma sensuelle complice indifférente, loin de là. Quand la femme qui est à l’écran est à la limite de jouir, Bernadette est prise de tremblements plus soutenus, plus forts… et se met à mouiller avec abondance ; en exagérant, je pourrais dire qu’elle coule comme une fontaine. J’ai pu constater à plusieurs reprises avec mes copines et d’autres femmes de tous âges, que voir ou entendre un orgasme féminin ne laisse personne indifférent, bien au contraire. Et l’on peut ajouter qu’il en est de même pour les hommes. La femme à l’écran, que je peux apercevoir dans un reflet de la fenêtre qui est face à moi, vient de jouir violement. Cela ajoute à l’excitation de Bernadette. Je profite de ce moment pour passer ma main droite entre les fesses de ma complice pour lui masser sa petite rondelle avec douceur. Ne s’y attendant pas, ce geste la fait sursauter, mais quelques instants plus tard sa petite rondelle réagit avec subtilité. Quand j’appuie délicatement dessus par petites pressions, elle s’ouvre ; et quand je fais mine de sortir, elle se resserre sur mon doigt comme pour le maintenir bien au chaud. Une fois mon ...
    ... doigt complètement introduit, je peux palper mon engin dur à point bien au chaud dans son intime fourreau, mais agréablement maltraité par les mouvements incessants du bas du ventre de Bernadette. Je vis un moment des plus excitants. Malheureusement, le bon temps passe beaucoup trop vite, et je sors de mon rêve éveillé quand Bernadette se penche sur mon oreille et trouve la force de m’y glisser : — Philippe, je vais exploser moi aussi.— Non, pas tout de suite, s’il te plaît : prends ton temps, tenté-je de lui suggérer. Quelques secondes plus tard, je sens le corps de Bernadette qui se contracte très fort et son souffle qui devient très saccadé. À cet instant, je prends conscience qu’elle pourrait râler un peu trop fort et que le son de nos ébats puisse parvenir à l’étage du dessous, c’est-à-dire dans le bureau de son mari. C’est pourquoi, en saisissant fermement sa cuisse droite avec ma main disponible, je lui demande à voix très basse, mais avec insistance : — Bernadette, reste discrète, s’il-te-plaît.— Euh oui… ne t’inquiète pas, trouve-t-elle la force de me dire. Bernadette s’effondre contre moi et me serre violement dans ses bras. Je pense que si quelqu’un arrivait à cet instant précis, tout le scénario préparé il y a une vingtaine de minutes tomberait immédiatement à l’eau. Nous n’aurions pas la vivacité de réagir, mais heureusement tel n’est pas le cas. Alors que l’orgasme de Bernadette n’est pas encore tout à fait terminé, je lui écarte les cuisses au maximum pour tenter ...
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