1. Mon flic (1)


    Datte: 21/05/2018, Catégories: Zoophilie,

    ... aussi était demandeuse et se laisse aller à son plaisir en exprimant sa joie assez rapidement. –Oh oui chérie, oui, oui, je t’aime. Flic se lève et vient vers nous, il s’assoie à quelques mètres de nous et nous regarde. Virginie s’assoie à côté de moi, nous nous enlaçons et restons sans bouger un petit instant. –Je crois que nous avons intrigué Flic. –Oui, il doit se demander ce qu’on fait. Virginie l’appelle et il vient se faire caresser. Nous le caressons toutes les deux, il penche un peu sa tête vers mes jambes en se laissant faire. Je me lève pour aller chercher quelque chose à boire dans la cuisine. Quand je reviens, je me penche pour poser deux verres et une bouteille de coca sur la table basse. Flic est derrière moi et je sens son souffle sur mes cuisses. –Couché Flic. Il retourne gentiment sur sa couverture et se couche pour se lécher la bite. –Je crois qu’il a senti ta cyprine, ça doit l’émoustiller un peu. –Tu crois ? –Ça doit quand même lui rappeler une chienne en chaleur. –Je n’ai rien remarqué de spécial. Nous buvons notre boisson fraîche en écoutant toujours de la musique et en nous caressant. Tout de même un peu fatiguées par nos journées respectives et devant aller bosser le lendemain, nous allons nous coucher assez tôt. Flic reste sur sa couverture dans le coin du salon. Le lendemain vendredi, en fin de matinée, Arielle vient me voir un peu gênée. –Layla, j’ai besoin d’un service. –A bon ? –Je me suis disputé avec mon copain, il m’a trompé avec ma sœur, et ...
    ... comme c’est lui le locataire je suis dehors, je ne veux plus les voir ces salauds. Je sais que tu as plusieurs chambres chez toi, est ce que tu pourrais m’héberger ce week-end ? –Juste le week-end ? –Oui, tu peux voir avec Virginie si ça ne la dérange pas ? Je suis un peu surprise, elle connait Virginie, mais n’est pas au courant de nos relations, et il nous sera impossible de cacher quoi que ce soit à Arielle, nous en sommes incapables. Personnellement, je suis à l’aise dans mes basquettes, je me fous de ce que pensent les autres de ma relation avec Virginie, mais je veux être sûre qu’elle est d’accord. –Ok, je te dis ça dans une heure. Je téléphone à Virginie qui accepte, si Arielle a des problèmes avec nous, elle n’aura qu’à s’en aller. A la fin de la journée de travail, vers seize heures, j’amène Arielle chez elle pour qu’elle récupère ses affaires et nous rentrons à la maison. Virginie est déjà rentrée et toujours dans sa tenue plus que légère. Arielle ne bronche pas, elle n’a même pas l’air d’être étonnée. Elle la détaille du regard, j’ai l’impression qu’elle apprécie ce qu’elle voit, d’autant que Virginie ne fait rien pour cacher son corps. Flic vient la voir et se colle à elle, elle le caresse et il reste avec elle, je n’existe pas. Nous amenons Arielle dans sa chambre, Flic reste dans le salon, il a déjà compris qu’il n’avait pas le droit d’aller ailleurs que dans le salon et la cuisine. Nous laissons Arielle ranger un peu ses affaires et allons prendre une douche. ...