Mon flic (1)
Datte: 21/05/2018,
Catégories:
Zoophilie,
... Evidemment, nous nous faisons plaisir et Virginie exprime sa joie un peu fort. J’ai quand même un peu de scrupule à aller dans le salon comme d’habitude, à poil alors qu’Arielle est là. –Tu crois qu’on peut sortir de la salle de bain nues ? –Ecoutes, nous sommes chez nous et nous faisons ce que nous voulons, ceux qui ne sont pas contents n’ont qu’à aller voir ailleurs. –Ok Nous allons dans le salon dans le plus simple appareil, Virginie va préparer des boissons fraîches pendant que je dispose les transats devant la baie vitrée du salon. Nous nous installons au soleil, allongées sur les transats. Arielle arrive, et surprise, elle est nue. –Je me suis mise dans la tenue locale, j’ai vu de ma chambre Layla disposer les transats et j’ai décidé de me mettre dans la même tenue, surtout que j’adore être nue. Ça se voit car elle est intégralement bronzée. –Et tu vas ou pour bronzer comme ça ? –Montalivet, et vous ? elnekkd –Cette année, nous avons essayé le Cap, et je dois dire que nous y retournerons, on s’est bien amusé. Maintenant qu’elle est nue devant moi, je peux mieux la détailler. C’est ma ...
... copie, même taille, même ventre plat, même hanches, même cheveux longs, juste un peu plus de poitrine et comme nous, intégralement épilée, comme presque tous les naturistes. Elle s’installe en face de nous, nous sommes disposées en étoile autour d’une petite table basse ronde. Elle a les jambes un peu écartées, je peux voir son clitoris qui émerge en haut de ses lèvres. Flic vient nous rejoindre, mais il se met à côté d’Arielle, il a l’air de bien l’aimer. Arielle le caresse, lui tapote un peu la tête, il s’assoie et pose sa tête sur une de ses cuisses, le nez en direction de son entre cuisse. Cela n’a pas l’air de la déranger, et nous discutons de tout et de rien pendant une bonne heure. Je remarque tout de même que son entre cuisse brille un peu plus que tout à l’heure. Mais le soleil est descendu et les arbres le cachent, nous sommes à l’ombre et décidons de rentrer dans la maison. Flic ne décolle pas Arielle d’une semelle, il la suit comme s’il était aimanté. Ça n’a pas l’air de la gêner. –Si Flic te gêne, tu lui dis d’aller se coucher. –Non, il ne me gêne pas du tout, j’adore les gros chiens. …/…