1. Un an de galère ("Trois mois de vacances", la suite)


    Datte: 24/05/2018, Catégories: fh, hplusag, entreseins, Oral 69, pénétratio, fsodo,

    ... ruisselant sur son corps, jouait nonchalamment avec mon vit dressé. Ce fut un instant magique. Un de plus. Un des derniers. Cette situation ne pouvait durer très longtemps. — Viens ! Elle me tira par la queue, ouvrit ses jambes et plaça mon membre en position d’insertion. Je la pénétrai sans problème. Il était loin le temps où son étroitesse me ralentissait. Une pratique plurijournalière avait balisé le chemin. Retrouvant leurs automatismes, nos lèvres comme nos corps se soudèrent. Pubis joints, ventres collés, poitrines compressées, mains poussant nos fesses : cette position nous était habituelle, mais de préférence couchés. Ce soir, le plus nous était apporté par cette eau délicieusement chaude dégoulinant le long de notre colonne vertébrale, entre nos fesses. Je/tu baiser/communion. Je/tu à l’écoute de mon/ton corps. Cette onde qui naquit, une fois encore, au creux de mes/tes reins, peu à peu se diffusa dans tous mon/ton être. D’abord, les membres inférieurs, mes/tes pieds, mes/tes jambes, mes/tes cuisses fusionnèrent. Ma bite et ta vulve s’embrasèrent pour n’être qu’un. Un flux puissant, dévastateur fulgura le long de notre colonne vertébrale pour exploser, tel un feu d’artifice aux mille couleurs, dans notre tête. L’osmose. Rarement notre ressenti avait été aussi fort. Lorsque nous retrouvâmes nos esprits, nous étions à demi allongés dans le bac à douche, ma bite raide dans son cocon douillet. Nous avions eu un orgasme fantastique sans que nous éjaculions. Rien qui ne ...
    ... sorte de notre ordinaire. Pourtant… Quand nos yeux se croisèrent, je lus dans son regard un émerveillement mêlé de crainte semblable au mien. À regret, nous nous défichâmes. Je me relevai et tendis la main à Mai. — Viens, j’ai envie de te baiser et pour ça, on sera plus confortable sur le lit. Elle me suivit sans un mot. Sans prendre la peine de nous essuyer, nous roulâmes sur les draps. Lorsque j’essayai de l’embrasser, elle me repoussa brutalement. Je la regardai, déconcerté. De grosses larmes roulaient sur ses joues. Je pris son visage entre mes mains, essuyant ses perles de tristesse avec mes pouces. — Què pasa, querida ?— Je veux retourner chez nous, balbutia-t-elle entre deux sanglots.— Tu y seras bientôt. Quelques formalités à Paris et tu pourras rentrer chez toi.— Pas chez moi, idiot ! Chez nous, à Crazy Island.— Tu n’es pas heureuse de retrouver le confort, de revoir ta famille ? Les pleurs s’étaient calmés, remplacés par une colère froide. — Parce que toi t’es content ! Ose me le dire. Devant mon mutisme, elle poursuivit : — Si tu voyais ta gueule depuis qu’on est là ! On était bien, on était heureux ! Et maintenant, c’est le bordel ! Mais enfin, t’as envie de baiser, moi aussi ! Alors, baisons ! Elle me renversa et sans ménagement me chevaucha. Elle, la cavalière, moi, le cheval, souvenir d’un autre moment, dans un autre lieu. Loin de la douceur de Crazy Island, elle m’embrassa violemment. Choc d’incisives. Baiser aspirateur, ses dents s’arrêtèrent sur ma langue à la ...
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