1. Chère Marquise Ch. 01


    Datte: 24/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... plus que la violence, un silence qui dure... Une main t'empoigne par les cheveux, et soudain tu sens un sexe dur, puissant, se coller avec force contre ta bouche. Tu voudrais résister, mais la pression est trop forte, tu entr'ouvres les lèvres, et il entre, long, brûlant, il envahit ta bouche, tu le goûtes, sa saveur vigoureuse te chavire. Ses puissants mouvements de va et vient le font entrer à chaque poussée plus loin dans ta gorge, tu suffoques, tu voudrais te dégager, mais tu es prise au piège. Tu sens s'émousser ta résistance, tu t'abandonnes, tu laisses cette queue inconnue pénétrer ta bouche. Et il continue, impassible, avec une régularité mécanique, inhumaine, pendant de longues minutes.... Aussi soudainement qu'il t'a prise, il se retire de ta bouche, tu es à nouveau seule. Et ma voix, douce, caressante, près de ton oreille, mes doigts, frais sur tes joues brûlantes.... -" Douce et soumise Marquise, tu as aimé? C'était bon, n'est ce pas? Cette force, et puis ton abandon.... Tu verras, le jeu ne fait que commencer... relève-toi, laisse moi te guider..." Avec des gestes très doux, je te relève, détache tes bras, te fais avancer de quelques pas. Tu te retrouves, les bras tendus au-dessus de ta tête, les jambes maintenues écartées par une barre de fer passée entre les anneaux des bracelets de tes chevilles. "Tendre Marquise, comme tu es belle, offerte ainsi, chienne impudique....", te dis-je en un murmure, tandis que je caresse tes seins, frôlant tes tétons durcis par ...
    ... l'excitation, la peur et le froid. "Comme tu es belle, tes seins, ton ventre nu, tes hanches.... Tentation diabolique, perverse créature..." Mes mains glissent le long de tes hanches, effleurant tes fesses, s'attardant, l'espace d'un instant, sur ta toison bouclée. Mais je disparais à nouveau, te laissant seule dans la nuit. Les minutes s'égrènent, rythmées par les battements de ton cœur affolé par l'attente.... La surprise plus que la douleur te fait sursauter. Comme un éclair, la badine s'est abattue sur tes reins. Tu cries, tu te débats, mais sans effet. Avec une précision de métronome, les coups cinglent ta peau fragile, de petits coups secs et précis qui laissent derrière eux de fines rayures rouges. Te sentant désemparée, au bord des larmes –douleur, plaisir, honte? – je me rapproche de toi, te cajole, te caressant. Ton corps est écartelé entre la mortification qui frappe tes fesses et mes doigts, légers, doux, qui explorent ta fente humide, et ma voix, insidieuse, qui dans un souffle te murmure des horreurs: "Tu aimes ça, petite chienne, tu aimes te montrer, aguicher les hommes, n'est ce pas, arrogante Marquise... Te voilà punie, les fesses rouges, humiliée, nue, offerte à des inconnus qui jouent avec ton corps de petite putain..." Aussi brusquement qu'ils ont commencé, les coups cessent, nous nous retrouvons seuls, l'espace d'un instant, je te tiens dans mes bras, tremblante de désir, du dos de la main je caresse ton derrière brûlant. Tu crois ton calvaire terminé ...