1. La nièce de ma copine


    Datte: 20/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Je m’appelle Jonathan ; j'ai 22 ans et mesure 1,66 m pour 65 kg. J'ai un physique considéré comme typique, brun aux yeux verts. N'ayant pas beaucoup connu de relations amoureuses, je suis avec Léa, qui a 20 ans. Je vis avec elle depuis 4 ans et demi, et tout se passe bien entre nous, tant sur le plan sentimental que sur le plan sexuel. Léa est une femme assez ronde pesant 90 kg pour 1,70 m, joyeuse et heureuse de vivre ; nous profitons de chaque instant passé ensemble. Depuis que je suis avec elle, j'ai fait la connaissance de Mélanie, sa nièce âgée de 18 ans. Cette fille et parfaite : 1,65 m, de joli seins (95 B), de jolies fesses bien rebondies et une silhouette aussi ravissante qu’appétissante. J'avais l'habitude d’accueillir Léa à la maison depuis 4 ans que je la connais ; sa présence était devenue normale, comme si nous faisions ménage à trois. Mais ce soir-là, tout a changé. C'était le 21 juin 2013, le premier jour de l'été. On frappa à la porte ; j’allai ouvrir : c'était la sœur de Léa, mais Mélanie était là aussi. Après quelques amabilités habituelles, la sœur de Léa demanda si Mélanie pouvait rester à la maison ce soir car elle allait à la fête de la musique ; nous n'avons pas émis d'objection car nous n'aimons pas trop ce genre de rassemblement, et Mélanie non plus. Il était 19 h 30 ; Mélanie alla pendre sa douche tandis que Léa et moi étions en bas en train de regarder la télé. — Pourrais-tu remonter l'ordi s'il te plaît, bébé ? m’a demandé Léa. Même si je ne ...
    ... voulais pas y aller, je m’y suis résigné. — D'accord, j'y vais. Arrivé en haut des escaliers, je remarquai que Mélanie était toujours sous la douche. Je pris donc l'ordinateur et n’y prêtai pas attention. Quelques minutes plus tard, Léa me demanda : — Tu n'as pas oublié quelque chose en haut ? — Non, je ne crois pas… lui répondis-je avec un air interrogateur. — Le chargeur de l'ordi. — Ah, mince ! Attends, je vais le chercher. Désolé. Je montai une nouvelle fois ces fichues marches ; arrivé une énième fois en haut, je vis Mélanie allongée à plat-ventre sur notre lit (c'est habituel : elle fait ça tout le temps). Son portable à la main, elle était en train de surfer sur les réseaux sociaux. Son mini short vert découvrait de magnifiques jambes, et un maillot blanc dessinait les fabuleuses formes de ses seins. Le chargeur en main, je m’apprêtais à redescendre quand tout à coup je vis Mélanie remuer doucement ses fesses en faisant des cercles. Je m'approchai de la porte ; elle ne pouvait pas me voir car elle était scotchée à son smartphone. Je me demandai pourquoi elle faisait ça : un tchat coquin, peut-être ? La découverte de son corps ? Mes interrogations étaient nombreuses. Je décidai de franchir la porte de ma chambre. Mélanie me vit ; elle se retourna mais se désintéressa immédiatement de moi pour retourner sur son smartphone. Dix secondes plus tard, je n'en revenais pas : Mélanie avait baissé son short vert juste assez pour laisser apercevoir ses fesses. — Qu'est que tu fais ? ...
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