1. La nièce de ma copine


    Datte: 20/07/2017, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... lui demandai-je. — Je vois très bien que tu me mates depuis tout à l'heure… — Tu te trompes ! — Ah oui ? Alors pourquoi es-tu resté planté devant la chambre pendant une minute ? J’étais démasqué ! Je m'approchai d'elle. — Tu sais, tu es la nièce de Léa ; je ne crois pas que ce soit très bien de faire cela... — Elle est en bas ; on s'en fout ! Je ne pouvais pas résister à son charme, et surtout à ses magnifiques fesses qu’elle faisait bouger comme pour m’attirer vers elle. Je m'allongeai sur le lit à la hauteur de ses fesses et commençai à les toucher, les caresser, les embrasser. — J'ai changé depuis le temps que tu me connais ; pas vrai ? — Tu n'avais que 14 ans quand je t’ai connue ; donc oui, tu as énormément changé. Tout se mélangeait dans ma tête. Je savais que ce n'était pas bien ; mais après tout, pouvais-je me priver d'une jeune femme que me désirait ? — Tu peux aller plus loin si tu veux... — Comment ça ? À ce moment-là, ma bite était dure et je bandais au maximum. — Tu pourrais mettre ta langue dans mon anus… J’étais choqué par ce qu'elle me disait : je ne pensais pas que cette jeune femme de 18 ans, là, devant moi, serait capable de ...
    ... telles choses ; mais ça m’excitait énormément. — On t’a déjà fait ça avant ? — Non. Je suis vierge, je n'ai jamais rien fait. — Alors je vais devoir te faire tout découvrir ? lui dis-je tout en caressant son anus avec ma langue, mais sans l'enfoncer. Elle me fit oui d'un mouvement de tête car l’atmosphère devenait de plus en plus chaude ; je voyais Mélanie étouffer ses petits cris dans l'oreiller pour ne pas se faire repérer par sa tante pendant que ma langue s’activait sur son petit trou et que mes mains malaxaient son joli fessier. J’étais aux anges : je pouvais découvrir le corps de celle qui me donnait envie depuis quelque temps. Jusqu'au moment où, du bas de l'escalier, Léa nous demanda de venir car nous allions manger. Mélanie remonta vite son short et me dit en me faisant un clin d’œil : — Ne t’inquiète pas : tu auras le droit plus tard ; Léa peut monter d'une minute à l'autre. Lorsque nous sommes redescendus pour nous mettre à table, Léa me demanda : — Où est le chargeur ? — Je n’y ai plus pensé ; j'étais en train d'aider Mélanie à faire ses devoirs pour lundi. Elle crut à cette version ; mais si elle avait su ce que j’étais en train de faire ! 
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