1. Recuerdos de Mexico


    Datte: 25/05/2018, Catégories: fh, vacances, hotel, voiture,

    Emilia était une belle femme. Française née au Mexique où je résidais à ce moment là. Un peu voyante, toujours bien habillée, bien maquillée, n’hésitant pas à dévoiler la naissance, et un peu plus…. d’une belle poitrine. Certaines femmes qui voient venir le danger disaient d’elle avec hargne : « elle fait pute » ! Nous nous étions aperçus plusieurs fois, toujours dans des groupes, de loin en somme. Mais il y a certains coups d’œil qui ne trompent pas. Le contact visuel comme disent les Américains, c’était établi entre nous à plusieurs reprises. Cette fois-ci, je me retrouve quelques minutes en tête-à-tête avec elle, nous avons un verre à la main elle me dit : — Pouvez vous tenir mon verre un petit moment, je prends une cigarette dans mon sac Je lui réponds sans aucune arrière pensée et en toute innocence : — Je peux tenir le coup aussi longtemps qu’il le faut. » Elle éclate de rire. Son mari arrive, une conversation anodine s’établit, je me sens très bête. Le week-end suivant, je me retrouve avec elle quelques instants, mais ce n’était pas tout à fait le fruit du hasard, immédiatement je lui dis avec un petit rire mi-salace mi-gêné : — Quand je vous disais que je tenais le coup très longtemps, c’est vrai. De nouveau elle éclate de rire me tourne le dos et s’en va. J’avais trouvé cette approche géniale maintenant je me trouve encore plus bête ! Quelques soirs après, nous allons au cinéma les quatre en ménage. À la sortie alors que je retiens la porte pour tout le monde, elle ...
    ... profite en passant pour se frotter contre moi en me gratifiant d’un sourire à déclencher une révolution supplémentaire dans un pays peu avare de ce genre d’exercice. Nous nous installons dans la voiture, à la française. À la latina, c’est les hommes devant et les femmes derrière. À la française : mélangés. Donc derrière : elle et moi. De l’avant on ne voit pas ce qui se passe derrière, en tout cas pas à la hauteur des sièges. Sa main gauche traîne négligemment sur le siège, je mobilise tout mon courage, enfin je lui prends la main en angoissant. La pression de sa part est sans équivoque…. Je me lance donc, je lui mets la main sur la cuisse. Aussitôt elle remonte sa jupe et écarte les jambes. Ma main suit le chemin naturel qui s’offre à elle. J’écarte un peu la petite culotte, je caresse les poils du pubis. Ils sont courts de toute évidence coupés et soignés. Très vite elle me dirige sur son sexe qui mouille déjà. Un feu rouge, m…e , ma femme se retourne, j’essaye de dégager ma main, Emilia la retient, une éternité puis le feu repasse au vert et mon activité recommence. Le petit clito était réellement minuscule au bout de mon doigt. De temps en temps je déborde sur ses lèvres, je plonge un doigt dans sa chatte très humide, je reviens au clito que j’effleure puis le caresse plus énergiquement, tout d’un coup je la sens se raidir, un espèce de bruit rauque jaillit de sa gorge, elle se met à tousser frénétiquement pour donner le change car les têtes devant se sont retournées. Ça ...
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