1. Recuerdos de Mexico


    Datte: 25/05/2018, Catégories: fh, vacances, hotel, voiture,

    ... passe, ouf, j’attends quelques minutes puis elle prend ma main et la remet en place. Je continue en bon petit artisan honnête à exécuter ma mission. Mon doigt se fait tout doux tout léger sur ce petit clito au maximum de sa taille, mon doigt s’égare un instant dans sa chatte puis ma main lui caresse tout le sexe et mon doigt revient encore comme une plume sur son centre de plaisir, elle sursaute encore en se mordant les lèvres, pendant tout ce temps là je continue une conversation très mondaine sur la terrible pollution qui s’abat sur cette ville par ailleurs splendide. Hypocrite. Un autre feu rouge, merci. Je retire ma main et la passe machinalement sur mon visage. Le parfum m’affole. Jamais je n’ai retrouvé une odeur de chatte pareille. Fin, émouvant, musqué, totalement envoûtant, le triomphe des hormones, je crois le sentir encore. J’ai été réduit en esclavage par ce parfum, car je suis devenu l’esclave sexuel de madame, l’avenir le prouvera, et croyez moi, il y avait de quoi faire. Je m’apprêtais à prendre un peu de repos, surtout que ce double jeux entre la conversation mondaine et mon activité pro-clitoridienne était dure pour les nerfs. Mais sa main vient se saisir de la mienne elle la plaque à nouveau sur son sexe et c’est reparti….Incroyable ! Et bien elle a joui à nouveau, en se mettant la main sur la bouche ce qui nous a évité une partie du problème précédent. Puis nous voilà devant notre maison, le mari, ravi de sa soirée, disant il faut qu’on recommence…. Tu ...
    ... parles ! Finalement la grande gagnante de la soirée fut ma femme car je lui ai fait l’amour comme une bête, elle était ravie et me disait : « Dis donc ça te réussit le climat de Mexico. » Oui ça me réussit ! La semaine suivante, coup de fil d’Emilia au bureau : — Je suis en bas, dans une heure j’ai réservé une chambre au Maria Isabel à ton nom. Merci ! Un excellent hôtel, très cher, si je mets la douloureuse sur ma carte de crédit du bureau, achtung la direction ; sur ma carte de crédit personnelle ce n’est pas moi qui m’occupe des comptes à la maison, bonjour la scène ! — Si tu as une paire de « cojones » dit elle (je ne pense pas que la traduction s’impose) je t’attends, et elle raccroche. Pas de décision Cornélienne à prendre je suis prêt à foncer dans le mur, car je sens bien que cela ne sera pas sans dangers. J’annule mes rendez vous. J’arrive aussi à annuler l’hôtel et à convaincre ma « maîtresse », jamais le terme n’a été aussi bien employé, d’aller dans un motel de passe : Institution latino-américaine par excellence, un garage se trouve sous la chambre, tous alignés sur une rue, dès que la voiture rentre la porte du garage se referme automatiquement, donc l’anonymat est garanti. Inutile de dire que ces affaires abondent et tournent à fond. Petit détail pittoresque, la passagère se penche sur le siège pour ne pas être vue et les voitures semblent rentrer et sortir avec le seul conducteur à bord…. C’est ainsi que les latinos sont les champions de la fornication et les ...