Le mystère Steven
Datte: 25/05/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
bizarre,
essayage,
amour,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
portrait,
humour,
inithf,
... vient me chercher et me conduit au hammam puis, quinze minutes plus tard, à la douche glacée. Je prends peur mais elle m’explique les bienfaits d’une douche froide au sortir d’un bain de vapeur. Ensuite séance maquillage pour quinze jours. Noémie m’explique les gestes à faire pour entretenir et mettre en valeur mon teint. Je suis une loque, tellement je suis relâchée, je ne sens plus une seule tension en moi. Je n’ai jamais été dans cet état. Au sortir, je tombe sur Steven qui, fidèle à sa parole, m’attend avec un grand sourire pour me ramener à la maison. Je ne réfléchis plus et je me jette à son cou pour le remercier d’un baiser. Nous reprenons le bus ensemble. Nous faisons la fin du trajet à pied, main dans la main. Arrivés à la porte de mon appartement, un dernier baiser avant de le quitter : ce soir il a des obligations familiales. Je me couche en me disant que, finalement, la vie n’est pas si mal. Samedi, 8 h, je me lève pour aller faire mon premier ménage au rez-de-chaussée chez le proprio. J’enfile un vieux short en jean et un survêtement sur un t-shirt. Je descends et je sonne à la porte à 8 h 30. — Bonjour mademoiselle, content de voir quelqu’un qui a envie de travailler.— Bonjour monsieur Gérard, que puis-je faire pour vous aider ?— Entrez donc, vous pouvez commencer par la cuisine. La cuisine en question est assez mal rangée, de la vaisselle sale traîne un peu partout et les sols ne doivent pas avoir vu de brosse depuis la guerre. Je commence par faire la ...
... vaisselle, puis je m’attaque au sol et au mur lavable. Assez vite je nage dans ma transpiration tant l’appartement est chauffé. Je me mets en t-shirt avant de poursuivre mon œuvre. Je suis en train de récurer le mur quand le propriétaire me propose une pose. Je le retrouve dans la salle à manger avec une bouteille de Perrier bien froide. Il me parle de choses et d’autres quand je vois ses yeux exorbités dirigés sur ma poitrine. Je n’avais pas jugé utile d’enfiler un de mes carcans pour travailler mais maintenant que mon t-shirt est trempé, le spectacle a de quoi surprendre. Mes joues commencent à chauffer, je sens des frissons dans le dos alors qu’il y a trente secondes, je mourais de chaud. Je croise mes bras sur mes seins afin de les dissimuler un maximum et je retourne travailler. Mes mamelons pointent, à croire qu’il me suffit de les montrer pour les faire réagir. Je recommence à frotter le mur. M. Gérard vient à l’entrée de la cuisine et ne trouve rien de mieux que de m’observer pendant que je travaille. Je sens son regard sur moi, et je pense sans arrêt à ma poitrine, à croire que je suis juste une poitrine sur pied. Là, plus moyen de mettre mes bras devant mes seins pour travailler. J’hésite entre envoyer tout balader et continuer, mais je pense que je n’ai pas encore d’emploi sûr et que je ne peux pas perdre cette rentrée du samedi matin. Je peux juste essayer de me trémousser un minimum. Dans ma tête, juste un leitmotiv : « il est vieux je ne risque rien, donc c’est pas ...