Le mystère Steven
Datte: 25/05/2018,
Catégories:
fh,
jeunes,
bizarre,
essayage,
amour,
dispute,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
portrait,
humour,
inithf,
... grave. » Mon entrejambe n’en pense pas moins et je sens ma culotte coton se tremper comme hier. Il veut m’aider et tout est prétexte à me tourner autour. Vers 13 h, la cuisine est nickel ; comme elle ne l’a plus été depuis, probablement, des années. Je prends donc congé et M. Gérard me donne les 35 € dus puis rajoute un billet de 20 parce que j’y ai mis du mien et qu’il apprécie le travail bien fait, comme il dit. Je remonte chez moi et je prends ma douche afin de me rafraîchir. L’après-midi se passe à éplucher les offres sur les journaux du week-end. J’en trouve quelques-unes me correspondant et j’y réponds. Le soir, je descends dans la rue pour poster mes demandes d’emploi. Au retour, je trouve un mot de Steven dans ma boîte à lettres. Il est passé en matinée, probablement pendant que j’étais chez le proprio. Il m’annonce qu’il doit partir avec ses parents pour le week-end et qu’il reviendra lundi en matinée. Tant pis, je passerai la soirée seule. Je constate que, contrairement à mon amie d’étude qui se surnommait elle mêmeTefal, moi Carine, je m’attache très vite. Je pense beaucoup plus à ce jeune homme que je ne le devrais, pour quelqu’un que je ne commence à connaître que depuis 48 heures ! Par contre, je m’aperçois par la même occasion, que je n’ai pas pensé une seule fois à Max depuis 48 heures. Je devrais peut être m’appelerWipp express parce que je me détache très vite… Je rigole toute seule au milieu du couloir quand M. Gérard passe la tête pour voir ce qui se ...
... passe. Je peux difficilement lui expliquer la raison de mon hilarité, je lui souhaite alors une bonne soirée et plutôt que d’attendre l’ascenseur et devoir lui faire la conversation, je me lance par les escaliers. C’est sans compter qu’entre le premier et le deuxième, je croise le locataire du deuxième qui doit faire pas loin de 140 kg alors que l’escalier est tout étroit. Je vais pour reculer, mais il met sa main sur mon épaule : — Ça ira, vous inquiétez pas. Et il m’écrase contre le mur en se frottant contre moi pour me croiser. Je sens son haleine, un mélange de bière, de camembert. Il transpire beaucoup. Je ne sais pas mais j’ai l’impression qu’il en a rajouté, j’ai eu l’impression de sentir une main sur un de mes seins. Je termine l’escalade jusqu’au quatrième, avant de m’engouffrer sous la douche. Il n’y a plus rien à la TV et je me couche. **/** Dring, dring… — Surprise ! Je t’emmène avec moi. Prends juste ton sac… C’est Steven, qui déjà m’entraîne dans les escaliers… Dans la rue, une coccinelle est garée en double file, et Steven m’en ouvre la porte. Nous prenons la route. À cette heure matinale, pas grand monde sur la route, nous passons près de la basilique, puis nous prenons l’autoroute. — Je t’emmène à la mer.— Mais je n’ai rien pris, j’aurais au moins dû prendre un maillot…— Ce n’est rien, je t’en offrirai un sur place. La route se passe bien, la radio diffuse une musique qui couvre le bruit du moteur. Nous arrivons à l’entrée d’Ostende et Steven se gare devant une ...