Plaisirs avec Georges (3)
Datte: 26/05/2018,
Catégories:
Gay
Georges était à la fois doux et très tendre. Et puisque j’étais assez banal dans mes désirs sexuels, notre vie était intense sans être très fantaisiste. Il me faisait l’amour avec fougue. On était passionnés sans dévier de la trajectoire d’une excitante normalité. Parfois Georges avait envie de moi à l’improviste, chez des amis ou dans la rue. Alors entrait dans une sorte d’impatience, dont je comprenais tout de suite la nature. Il voulait qu’on rentre, il supportait mal d’attendre. Pour notre chance, j’étais toujours prêt à le suivre. D’ailleurs, quand j’étais avec lui, j’avais toujours envie de lui, tant il me comblait. Pourtant, Georges avait quelques fantasmes. Un jour, un dimanche après-midi, nous sommes chez lui. Le samedi on était allé au cinéma, on avait dîné dehors, comme d’habitude, et une fois chez lui on avait fait l’amour. C’est bizarre le dimanche, je ne sais jamais quoi faire de moi. Je me mets à lire, Georges travaille dans son studio. Il arrive à l’improviste dans le salon, son regard me dit qu’il a envie de moi. Il me prend par la main et m’emmène dans sa chambre. Je fais pour l’embrasser, mais il me tient à distance. Je le regarde, étonné. — Laisse-moi faire - me dit-il. Il enlève ma chemise, mes chaussures, mes chaussettes. Dégrafe mon pantalon et baisse mon slip. — Viens -. Son ton est directif. Il reste habillé. — Mets-toi à quatre pattes sur le lit -. Je ne me suis jamais fait prier pour me mettre à quatre pattes et j’obéis. Sans rien dire, mais en ...
... me posant quelques questions. Georges vient sur la gauche du lit, sort d’une poche de son pantalon un lacet en tissus. Prends mon poignet et le met contre la barre en cuivre de la tête du lit. Il me lie. Il passe de l’autre côté et il fait la même chose avec mon poignet droit. Suis lié au lit, cambré, pratiquement à sa merci. Mais je sais qu’il ne sera pas violent : je pense qu’il veut assouvir un fantasme et lui faire plaisir prime sur tout. Je l’entends se déshabiller, je tourne la tête et lui souris. Lui aussi a un sourire : — Tu vas être à moi comme jamais avant -. — J’adore être à toi, je ne demande rien d’autre -. Il se met à genoux derrière moi. Il bande déjà. Il tient sa bite et la passe entre mes fesses. Il s’attarde à l’entrée. — Tu aimerais que je te prenne, hein ? Tu vas devoir attendre -. — T’es devenu méchant ? -. — Pas du tout, mais si tu attends tu seras encore plus heureux - Il se met à me lécher l’anus, tout en caressant mes fesses. C’est une pratique rare entre nous et il semble apprécier. Moi aussi. Sa langue titille ma sensibilité anale. Mon sexe se dresse. Il me le caresse. Je frémis de plaisir, il sait très bien que j’ai envie d’être pris, mais cet après-midi il veut jouer la lenteur. Et un peu la soumission. Passé les premiers moments, être lié n’est pas très agréable, mais Georges semble prendre son plaisir. Il se couche sur le dos, passe sous mes jambes et vient me sucer. Il m’aspire dans sa bouche, me lèche le gland, me masse les couilles. Dans ma ...