Plaisirs avec Georges (3)
Datte: 26/05/2018,
Catégories:
Gay
... position, lié à la tête du lit, les jambes écartées, je suis prêt à exploser. — Tu vas me faire jouir -. Je n’ai presque pas le temps de le dire que je jouis dans sa bouche. Il avale et lèche mon gland. Ça aussi c’est rare entre nous. — Maintenant je vais voir si tu es une vraie salope -. — Pourquoi ?-. — Parce que je ne t’ai jamais pris après t’avoir fait jouir -. — Et alors ? -. — Je voudrais te faire jouir à nouveau -. nbhnvvto — Ce sera difficile - je lui réponds alors que mon sexe et en train de devenir tout petit. Mais Georges est patient, il tient son fantasme par la queue (au sens propre et au figuré, si je puis me permettre) et continue son chemin. Il se remet derrière moi, me plaque contre la tête du lit. Suis à genoux, lié. Il m’embrasse dans le cou, il pince mes tétons, passe sa langue dans mes oreilles. Il est doux, il sait me toucher, il connaît mes points sensibles. Je ne me suis jamais senti aussi abandonné à lui, à son vouloir, à son désir. Je recommence à bander, excité par ses caresses, sa bouche, sa langue. Il prend dans le tiroir de la table de chevet le gel. Il me le met. Il masse mon anus avec son médium, sans me pénétrer. Il me place comme si j’étais sa poupée : poignets liés, bras allongés, mon derrière cambré à la juste hauteur pour lui, les cuisses écartées. — Ne me fais plus attendre, prends-moi -. Je le lui dis en retournant la tête et en lui souriant. Il me sourit aussi, comme pour me dire qu’il me tient en main. — Tu sais que je suis gentil – ...
... me répond. Il prend sa bite et la met entre mes fesses. Son gland pousse contre mon anus. Suis détendu, prêt à l’accueillir. Son gland glisse en moi. Il pousse jusqu’à me pénétrer profondément. Il me caresse des épaules aux fesses, puis prend mes hanches et commence à me faire l’amour comme lui seul sait le faire. Je gémis de plaisir. — Tu es une vraie salope -. — Je ne suis pas une salope, je suis la tienne -. Il me donne des grands coups, je gémis mais j’aurais envie de crier, de lui dire que je l’aime comme je n’ai jamais aimé personne. Mais je perds presque mon souffle en sentant son sexe aller et venir en moi. Je bande fort à nouveau. Georges me caresse la bite : — Tu vois ? Tu es une salope et tu vas jouir à nouveau -. — Et toi tu vas me remplir de sperme -. — Je vais t’en mettre plein le cul parce que je t’aime, Loulou -. — Moi aussi je t’aime, Georges. Quand tu es en moi je me sens comme une folle -. Il commence à aller plus vite, je sens son souffle s’accélérer. Il me tient par les épaules et jouit en moi, avec son cri d’amour que j’adore tant. Il s’appuie contre moi, m’embrasse sur le cou. Je serre mes fesses pour tenir son sexe en moi. Il défait les liens, il sort de moi, nettoie sa bite. Je m’allonge sur le dos, mon sexe dressé. Il vient contre moi, suce mes seins et me branle. — C’est tellement bon d’être ton enculé - lui dis-je en pressant sa tête contre ma poitrine. Je jouis avec un petit cri. Il m’embrasse tendrement. En me remémorant cet après-midi si insolite ...