Spéléologie libératrice
Datte: 26/05/2018,
Catégories:
fh,
massage,
intermast,
init,
... sens dans ma paume les tétons durcis par le désir probablement, tandis que sa respiration semble hésitante, saccadée. Nous n’avons toujours pas échangé un mot. Miroir et silence se révèlent les maîtres mots de nos rencontres…. Désir et plaisir aussi ! Comme je l’ai vu faire dans son bain la veille, je positionne mon pouce sur ses extrémités durcies, et je les fais rouler dans mes doigts. Elle ouvre la bouche et murmure : — Oh oui… L’étoffe douce et soyeuse de son vêtement facilite mes caresses sur sa poitrine, alternant la prise en main complète de l’un ou l’autre sein, et la stimulation de ses tétons. Elle respire plus vite, maintenant, et sa bouche légèrement ouverte laisse échapper parfois un râle. Le sein nourricier de mon enfance s’est muté en organe sexuel, et son contact encore indirect m’excite terriblement. Moi qui ai reçu tant de plaisir la veille, égoïstement centré sur moi, n’ayant pas un instant envisagé de partager avec elle les caresses qu’elle me prodiguait, je veux à mon tour la voir chavirer, s’abandonner à mes mains novicse mais très studieuses de ses réactions et de son rythme. Pause. Je m’adresse alors à l’homme que je suis en train de devenir dans un conseil silencieux : « Paul, concentre toi sur son plaisir et le tien, laisse de côté les images d’Epinal, les conseils condescendants des copains de lycée, les films hot… » Play. Ma position est devenue inconfortable pour poursuivre notre étreinte. Difficile de la caresser plus avant dans cette situation. ...
... Je glisse mes avant-bras sous ses aisselles, et tels les fourches d’un chariot élévateur, ces derniers lui font doucement comprendre que je veux qu’elle se lève. D’un mouvement de jambe je fais rouler sur le côté la chaise sur laquelle elle s’était assise, tandis qu’elle obéit à mon invitation et se met progressivement sur ses jambes, en me tournant toujours le dos. Pendant sa lente ascension, le sommet de sa tête ou sont noués ses cheveux dégage une odeur qui me rappelle instantanément, telle une marque de fabrique, les douces caresses de la veille sur ma verge encore endolorie. Ce souvenir fugace réveille d’ailleurs en moi, sur simple stimulation olfactive, l’attribut en question, qui gonfle progressivement le pantalon de toile que je porte aujourd’hui. Cette protubérance semble attirée par le fessier qui vient de se positionner à sa hauteur, et elle, puis mon corps tout entier, se rapprochent de Sophie maintenant debout. Il la frôle, comme hésitant. Ce rapprochement fait contact, et c’est sans surprise mon pénis ambitieux qui fait mouche le premier, légèrement sous la ceinture. Sophie frissonne à ce contact, et m’invite indirectement à continuer mes excursions récentes. Elle a laissé ses bras le long de son corps, et sans plus attendre, je l’enlace d’une étreinte protectrice, vaguement dominante aussi. Comme si elles s’étaient réparties les tâches, mes mains maintenant libérées de toute inhibition se dirigent l’une sur sa poitrine qui halète encore des émotions que je lui ...