Spéléologie libératrice
Datte: 26/05/2018,
Catégories:
fh,
massage,
intermast,
init,
... ai procurées, et l’autre vient agacer son ventre, ses hanches, ses fesses. Je m’accroche à son sein comme à une bouée pour me sauver du trouble que ses fesses doivent pourtant lui signaler très clairement. Abandonnant un instant son téton bandé à bloc, je le malaxe, le pétris, l’étale sur ses côtes. Mon souffle à moi aussi s’accélère, et les rares cheveux que sa coiffure a laissés libres volettent au gré de ma respiration plus puissante. Mon ventre transmet en complète osmose le rythme croissant de mes palpitations pulmonaires. Mes autres doigts, ayant flatté quelques instants ses cuisses, se posent à la base de son T-shirt et, après un temps d’attente pendant lesquelles ils s’y agrippent, le sépare d’un geste rapide du pantalon qui le maintient en place, le soulève d’un geste victorieux, comme pour indiquer que les jeux sont faits, que la chasse est ouverte, que le retour n’est plus possible. Elle semble se plier sans férir à mes envies. Un petit sursaut l’a étreinte à ce moment là, et puis un léger soupir comme pour acquiescer. Parti à la découverte de son ventre qui s’offre désormais à ma main impatiente, je le survole à basse altitude, en rase motte, alternant les caresses et les chatouilles sur sa peau soyeuse. Elle incline la tête en arrière sur mon épaule, comme abandonnée. Je remarque alors que ses paupières sont closes, et elle a fait poindre entre ses lèvres une langue curieuse, qui lèche le contour de sa bouche. Une caresse plus directe sur l’extrémité de son ...
... sein la fait sortir deux incisives pour se mordiller la lèvre inférieure dans un petit cri qui résonne merveilleusement dans mon oreille. Comme un automate, j’engouffre alors une main entre son bas-ventre et sa ceinture, à la découverte des abysses se sa féminité. Ma main en cuillère, je couvre, mi protecteur, mi inquisiteur timide, son slip que je devine en dentelle. « Paul, caresse-moi, oui…. » Elle écarte un peu les jambes pour me permettre de me frayer plus facilement un passage. Elle commence à onduler ses fesses contre mon bas-ventre, écrasant de son postérieur délicat mon gland à vif et mes testicules chargés par l’excitation de la situation. Ses mouvements les massent tout en maintenant une pression forte mais délicieuse. Mes doigts ont trouvé leur place. Mon pouce et mon auriculaire, distraits, taquinent l’intérieur de ses cuisses. Mon index et mon auriculaire, prudents, flattent les grandes lèvres que la fine culotte ne parvient plus à contenir, et caressent consciencieusement les poils qui parsèment la chair fripée et douce. Mon majeur quand à lui, téméraire, flotte littéralement sur le voile de son sous-vêtement que ses sécrétions intimes ont trempé de désir et de plaisir. Taquin, il s’emploie doucement à séparer plus encore les lèvres intimes pour s’enfouir dans le sillon brûlant. Ma main se met en mouvement, chacun à sa place, tendrement. À la base de mon majeur, je sens se dresser son bouton d’amour, et chaque aller-retour fait maintenant vibrer Sophie. Pas en ...