Les joyeux naufragés
Datte: 20/07/2017,
Catégories:
fhh,
frousses,
bateau,
Oral
pénétratio,
double,
humour,
aventure,
québec,
couple+h,
... un corps sur moi avec des seins menus. Marie me tapait la joue, elle tenait un des bâtons fluorescents. Ses cheveux étaient tout croches et son visage couvert de sang, elle avait une vilaine coupure au front. Moi, le cuir chevelu me brûlait derrière la tête, une blessure sans doute et du liquide poisseux s’en écoulait. Le bateau était penché et on était tous plus ou moins empilés les uns sur les autres au travers des vêtements. Heureusement les lits et les meubles étaient rivés au sol. Merveilleuse idée ! — Paul, ça va ? T’es blessé à la tête.— Hum ! fis-je en me passant une main dans les cheveux, y sentant une petite blessure et du sang, j’ai mal partout, et toi, ton front ?— Ce n’est rien, je me sens bien. Le jeune sosie de la chanteuse rock se retira de mon cul facilement, il avait débandé, comme tout le monde. Lady Gaga se retourna, me mettant son pénis flasque sous le nez. — On est tous vivants ? demanda-t-elle.— Moi oui, en tout cas, répondit quelqu’un.— On dirait que tu te prépares à lui faire une pipe mon homme, dit Marie en me souriant. Quelqu’un rit avant de grogner de douleur. — J’ai la cheville tordue, clama un autre.— Moi le poignet.— Pas pour le moment, la pipe, soupirai-je en me redressant prudemment, la tête me tournait un peu. Marie m’aida à me remettre debout, la cabine était penchée et sens dessus dessous, tout le monde se plaignait de petites blessures en se relevant tant bien que mal. Le chien commença à geindre en tremblant, rassuré aussitôt par sa ...
... maîtresse qui le sortit de sous un manteau pour le coincer entre ses seins plantureux et le caresser. Je ne savais pas qu’il était possible de se faire poser des implants aussi gros. — J’ai rêvé ou on a fait un 360, Marie ?— T’as pas rêvé, mais là ce qui me stresse, c’est que le bateau ne roule plus.— Moi également, déclara quelqu’un.— On a coulé, affirma le sosie de Madona en grimaçant et se frottant les couilles. Si on ne bouge pas c’est qu’on est stationnés à côté du Titanic probablement, et penchés en plus. Désolée les filles.— Petit Jésus ! On ne devrait pas avoir implosés ? lâchai-je, plutôt calme vu la situation.— Ça va Avril ? demanda France à la jeune qui se palpait le torse sous ses minuscules seins d’ado, les larmes aux yeux.— Une côte cassée, je pense. Ouuu… Tout à coup le bateau remua, ce fut suivi d’un brouhaha d’enfer, tout le monde cria, puis plus rien sauf un vacarme de moteur emballé, comme si les hélices tournaient dans le vide. On finit par se rhabiller, pas mal terrifiés et frigorifiés, mais ce fut long le temps de démêler nos vêtements tous appuyés contre le mur. Le son des turbines stoppa et on entendit plus que le vent, et étrangement comme un bruit lointain de ressac. Ouf ! On n’avait pas sombré, je compris qu’on devait être échoués. Au même moment, il y eut une annonce du commandant nous expliquant que la vague géante avait soulevé le navire pour le déposer au pied d’une falaise sur une île rocheuse, donc aucun danger que l’on coule, et qu’ils avaient ...