1. Premiers agréments d'une amitié


    Datte: 27/05/2018, Catégories: fhhh, jeunes, intermast, Oral pénétratio, double, fsodo, confession,

    ... ce temps-là, je l’ai simplement déshabillée. Elle restait affairée à tailler cette pipe mémorable, tout en coopérant lascivement quand je lui enlevai son jean et sa culotte. Je lui ai certainement enlevé aussi ses chaussures et ses chaussettes sans m’en souvenir, car elle se retrouva nue devant moi, à demi allongée sur le canapé, suçant la bite de mon pote. Elle était jolie, sans plus, mais elle irradiait de sensualité. De taille moyenne pour une femme, pas vraiment ronde, elle avait des formes affirmées : des jambes potelées et des cuisses qui renforçaient un cul magnifique, des hanches plus étroites sans être fines, une poitrine généreuse qui ne s’affaissait pas trop, un visage équilibré marqué par un nez légèrement aquilin, et des cheveux châtain légèrement ondulés qui descendaient jusque dans son dos. Je me mis également à poil et rapprochai mon visage de son entrejambe. En essayant d’atteindre sa chatte qui semblait rasée, je nous forçai à changer de position. Elle cessa sa caresse buccale et m’examina rapidement, debout devant elle. C’est drôle comme nos regards à tous les trois se croisaient sans cesse et semblaient accroître l’excitation. Elle s’assit et m’attrapa par les cuisses pour me sucer à mon tour, toujours debout, tandis que Ben se déshabillait de son côté. Sans attendre, il se rassit sur le canapé tout à côté de Julie et nous amena à une nouvelle position. Il la fit se relever et s’empaler rapidement sur sa queue pour lui permettre de continuer à me sucer. ...
    ... Elle n’hésita pas un instant et émit un demi-râle, la tête en arrière, au moment de la pénétration, avant de se reconcentrer sur ma queue. Par dessus ses épaules, sans qu’elle puisse rien voir, Ben et moi échangions des grimaces de satisfaction et des vulgarités non prononcées, que nous lisions sur nos lèvres entre rires vicieux et soupirs. Finalement, Ben ne put s’empêcher de répéter à haute voix : — Ah, putain, la salope ! Elle est trempée… Julie releva alors la tête, délaissant un moment ma bite baveuse, et se libéra d’un : — Ah oui ! C’est bon ! Je suis une pute ! Vous allez me baiser tous les deux toute la nuit… Putain, elle est grosse, ta queue ! J’ai jamais eu une queue si grosse ! J’arrive pas à la prendre en entier…— Mais si, ça glisse tout seul ! T’es trempée et ça rentre facile ! C’est juste la longueur… Ça va venir… C’est alors que la porte du pallier s’ouvrit ! Le voisin qui souhaitait dormir entra sans un mot, avec pour seul vêtement le caleçon baissé sur les genoux et laissant voir une belle queue en érection. Il pouvait avoir trente ans. Il était grand et mince, mais pas vraiment musclé, probablement aux alentours d’un mètre quatre-vingt-dix. Et sa bite était plus petite que celle de Ben. Notre trio se figea. Le voisin silencieux fit de même, plongeant son regard dans celui de Julie. Le temps sembla suspendu jusqu’au moment où retentit un éclat de rire féminin ! Julie, dépassée par les événements, était surexcitée. Elle ajouta : — Quand y’en a pour deux, y’en a ...
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