1. Extraits du journal de Marianne


    Datte: 20/07/2017, Catégories: fh, ff, fhh, Partouze / Groupe fsodo,

    Ce petit journal, je l’intitulerai « repères pour Marc » et je veux le rédiger au présent pour que Marc sente combien il est à mes côtés pendant les moments où je suis avec mon amant. C’est un exercice difficile. Pardon, Marc pour mes fautes de concordance des temps qui surprendront le prof de français ! Extrait n° Un C’était hier ! Nous sommes assis à table, dans ce charmant petit restaurant tenu par les parents de ma copine Su-Yin, attentifs à tous nos désirs. Marc ne me quitte pas des yeux. Je sens son regard passer de mon visage à mes seins que l’on devine au travers du fin tissu vert d’eau de la robe qu’il m’a offerte ce soir. Je suis heureuse, je suis aimée, les garçons des tables voisines me déshabillent du regard. Les pointes de mes seins durcissent à me faire mal. Lorsque j’avais seize ans j’étais ravie de mes seins minuscules ; ils avaient l’avantage de ne pas me gêner pendant les compétitions d’athlétisme où j’excellais et, de surcroît, ils m’évitaient d’avoir à supporter l’insistance des garçons qui ne se mêlaient pas des filles à "petits lolos". A dix-sept ans, l’absence de seins commençait à m’inquiéter. Mais après mon bac j’ai revu Marc à Grenoble et tout a changé. Lui, il était amoureux fou de mes tout petits seins : "tes seins virtuels" disait-il. Ils étaient pourtant bien réels, et pour lui, et pour moi. D’abord, grâce à eux, il m’a fait découvrir le plaisir, et pendant un an il m’a procuré un nombre incalculable de petits orgasmes merveilleux. Lorsque j’ai ...
    ... eu dix-huit ans, il a voulu épouser, je cite : "tes seins minuscules, tes yeux, et, accessoirement, toi". Depuis, je voyais mes seins avec un autre regard. J’en étais fière, et Marc tenait absolument, par mes tenues, à montrer aux autres que "je n’avais pas plus de seins que lui". Et cela marchait ! Les garçons me voyaient. À présent après deux années de mariage, après avoir connu et parcouru tout mon corps, il était toujours fasciné. Extrait n° Deux Pourquoi suis-je si émue par le jeu de Christine Scott-Thomas dans le film que nous regardons ce soir ? Cela a commencé lorsqu’elle raconte ce conte idiot, en plein désert, devant les garçons qui l’entourent, avec cet air sérieux et implorant à la fois. Elle est adorable. Plus tard, son amant la prend avec beaucoup d’amour, un amour qui le conduira au désespoir lorsqu’il ne pourra pas la secourir. Tiens ! Elle aussi a des petits seins, mais pas aussi minuscules que les miens. Pourquoi faut-il que son mari lui en veuille tant. Ils auraient pu être si heureux tous les trois. Cela je ne le dis pas à Marc. Extrait n° Trois Ce soir Marc me fait l’amour de façon merveilleuse ; j’aimerais m’endormir avec son sexe dans mon anus. Je sais qu’il aime cela depuis que je l’ai laissé me sodomiser pour la première fois un an après notre mariage. Mais avant, je veux lui faire mon cadeau : qu’il éjacule dans ma gorge. Cela ne me plait pas beaucoup à priori mais je sais que, comme tous les hommes, il est assez égoïste pour désirer cela. Il ne me ...
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