Extraits du journal de Marianne
Datte: 20/07/2017,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
Partouze / Groupe
fsodo,
... l’a pourtant jamais demandé. Jusque-là j’avais parfois effleuré son sexe de mes lèvres, c’était tout. Je le pousse à s’asseoir dans le fauteuil de la chambre et je m’agenouille à ses pieds. Longtemps je caresse son sexe, puis je l’introduis dans ma bouche. Lorsque je sens qu’il n’en peut plus, lui veut se retirer mais je le retiens tout au fond de moi. Alors il me serre la tête dans ses mains tandis qu’il se dépose fébrilement à longs jets dans ma gorge. Après une petite hésitation et surmontant ma répulsion, j’avale sa semence. Une curieuse expérience, pas vraiment agréable ; je lui en veux presque de s’être abandonné ainsi, mais les nombreux orgasmes qu’il m’a donné, avec sa bouche sur mon sexe, me reviennent à la mémoire. Levant les yeux, je vois son regard à la fois ému et admiratif. Alors je me sens toute fière. Un peu plus tard, sur le lit, il a repris vigueur entre mes mains Je sais que nous pensons tous deux au film que nous avons vu. Et je lui dis, tout à trac: — Oh Marc ! J’aimerais tant avoir un amant et que tu ne cesses pas de m’aimer très très fort. C’est un rêve idiot, je le sais ! Mais lui prend la chose très au sérieux et, à ma grande surprise, ses paroles me laissent entrevoir qu’il en serait heureux à condition que je le sois moi-même. Extrait n° Quatre Lundi matin je suis de nouveau à la fac, perplexe devant les résultats des dernières mesures délivrées par l’ordinateur, lorsqu’une main se pose sur la mienne. Aussitôt mes seins se mettent à durcir. ...
... Jusque là c’était l’apanage de Marc, lorsqu’il me regardait d’une certaine façon, ou lorsqu’il me faisait remarquer que les hommes que nous croisions les fixaient avec admiration. Le froid aussi les faisait se dresser ! Le plaisir que mes seins diffusent dans mon corps m’oblige à fermer les yeux un instant et je retrouve cette émotion ressentie devant le jeu de l’actrice du Patient Anglais. Soudain je comprends ce qui m’avait fait accepter la phrase hésitante de Marc, la nuit où je lui avais dit que j’aimerais avoir un amant sans perdre son amour. Je ne voulais surtout pas me l’avouer mais j’étais amoureuse de Pierre, le professeur auquel j’avais eu recours pour m’aider un moment dans ma thèse, et qui avait dû m’observer depuis un instant. Je suis brusquement tirée de mes réflexions par sa voix : — Voyons, Marianne, qu’avez-vous ? Vous n’avez pas entendu ce que je vous ai dit : elle est là la boîte quantique que vous cherchiez dans votre alliage. Ne voyez-vous pas ces chiffres ? Une vague de bonheur m’envahit car je l’aime et que j’ose me l’avouer et, me retournant, je l’embrasse sur la joue. Aussitôt après, me voici rouge de confusion et m’excusant auprès de lui car je me rends compte que la découverte de la boîte quantique ne justifiait pas un tel enthousiasme ! Mais lui me regarde avec des yeux sérieux et me répond qu’il attendait ce moment depuis le premier jour où il m’avait vue. Puis doucement il me prend par le menton et pose ses lèvres sur les miennes un instant avant de ...