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Quand Margot devient chienne 8
Datte: 27/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Première fois
... aussi et il ne lui fut pas très difficile d’introduire un premier doigt. De nouveau elle miaulait, poussait des petits cris, mouillait ses lèvres de sa langue, contractait ses fesses puis les relâchait pour facilité le passage. Elle guidait Karim. Lui disait comment entrer et faire tourner ses deux doigts afin d’assouplir le muscle. Tout d’un coup, alors qu’il avait introduit un troisième doigt et qu’il suçait son clito, la jouissance fut fulgurante. Elle lâcha un râle profond et c’est une fontaine qui se déversa dans la bouche de Karim. Il se recula surpris par la soudaineté du geyser, mais il reçu néanmoins le flot sur sa poitrine et fut trempé en un instant. « BHV » perché sur son escabeau n’avait pas raté une miette de la séance et prit quantité de photo.Quand après un bon moment Margot reprit ses esprits, elle était gênée de ce qui venait de se passer. Bien sur elle ne pouvait niée avoir pris un pied d’enfer. Elle ne se souvenait pas avoir jamais jouit de cette façon. Avec une telle intensité. Et puis comment elle avait coulée. C’était incroyable. Bien sur qu’elle mouillait ...
... abondamment, mais là, c’était les grandes eaux de Versailles !!! Et Laurent ? Je ne peux pas lui dire ça. Que vais-je devenir ? Il fallait compter sur la discrétion de « BHV ».- Bertrand ? Euh… je ne sais pas trop quoi dire.- Alors ne dites rien. Vous avez pris du plaisir, c’est là l’essentiel. Et je dois vous dire que vous êtes absolument magnifique lorsque vous prenez votre pied. C’était extraordinaire de beauté et d’érotisme.- Mais pour Laurent ?- Quoi Laurent ? Il n’est pas là. Alors pourquoi vous torturer l’esprit. Cela dit ma petite, maintenant que je vous connais mieux, nous n’allons pas en rester là ! A partir de maintenant, je vous veux ici tous les jours sauf le dimanche. Compris ?- Hein ! Tous les jours ?- Oui absolument, c’est comme ça. Reconnaissez que je ne vous ai forcée en rien. Quand vous avez commencé à vous exciter, vous pouviez dire stop. Vous ne l’avez pas fait. Alors épargnez-moi vos jérémiades et obéissez. Quant à Laurent je lui expliquerais que j’ai besoin de vous, ne vous inquiétez pas. Maintenant assez discuté, allez vous habiller et rentrez chez vous. A demain sans faute.