Club des Cinq
Datte: 27/05/2018,
Catégories:
grp,
extraoffre,
boitenuit,
danser,
noculotte,
Masturbation
intermast,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
Partouze / Groupe
... pose mon gland dans sa cuvette, je pousse un peu, elle résiste. Plus bas, sous moi, les deux femmes se donnent du plaisir, le tout sous les yeux de divers spectateurs venus voir le tableau épique qu’elles offrent. Trop occupé, je ne les avais pas vus. Alex est même à nouveau là. Alors je décide d’offrir à la vue de tous ces voyeurs le spectacle de ma queue s’enfonçant dans ma gouine de femme. Avec délectation, sans trop forcer dans un premier temps, je m’enfonce dans son anus accueillant et chaud. Sous les yeux avides des autres hommes, toute la longueur de ma tige disparaît dans les profondeurs de ma belle salope, jusqu’à ce que mes couilles viennent frotter contre ses fesses. Puis je commence mon mouvement de va-et-vient, entrant et sortant. Soudain, pris d’une irrésistible envie, je plonge dans le cul de ma femme d’un mouvement bref, mes valseuses s’aplatissant sur ses fesses, mon bas-ventre cognant dans un bruit sourd ses lombes. Pauline frémit sous le coup. — Un ! Un homme, que je ne connais pas du tout, vient de compter à haute voix. Je me prends au jeu. Je ressors des entrailles de ma femme, ma queue est presque entièrement sortie. Puis je replonge brutalement en elle, elle gémit sans cesser toutefois la léchouille qu’elle prodigue à Marianne. — Deux ! Je recommence, je persévère, grisé par ce cul et ce plaisir trouble de m’enfoncer à fond dedans, sous l’œil d’hommes qui aimeraient être à ma place. Encore ! À l’unisson, un chiffre retentit : — Cinq ! Les chiffres ...
... s’égrènent les uns après les autres, puis les nombres, je vais de plus en plus vite, sadiquement, Pauline gémit, se tord. Est-ce sous mes coups de boutoir ? Est-ce sous la langue agile de sa comparse ? Sous les deux réunis ? Je ne sais pas, peu m’importe, tout ce que je veux c’est ce cul ! Alors que je viens de m’enfoncer au plus profond, toujours dans un bruit sourd et claquant, ma bite ne résiste plus, et c’est dans un long râle que je me déverse dans cette belle enculée ! Je me vide, encore et encore, comme si j’avais des litres de foutre à évacuer ! J’entends comme des bruits de jouissance sous moi ? Qui de ces deux salopes se lâche ? Ma femme le cul défoncé, la chatte léchée ? Marianne, la fente investie par la langue de ma gougnotte de femme ? Puis, l’esprit toujours dans les brumes, je me retire de ce puits étroit, et j’attends un peu. Comme je m’y attendais, mon sperme coule de son petit trou, il glisse le long de sa chatte pour venir perler sur les lèvres de Marianne. Celle-ci ne se fait prier de lécher mon foutre. Je me dis que cette femme vaut la peine d’être mieux connue, et que plein de choses semblent possibles avec elle. Je lui dois déjà la révélation que ma femme ne déteste pas les caresses féminines et qu’elle sait les rendre. Nous nous reposons tous les trois. Jacques dort toujours dans son coin. Le désignant, je me penche sur sa femme, lui demandant en catimini : — Ça lui arrive souvent ?— Toujours ! Il s’y connaît très bien en turpitudes sur les autres, c’est ...