Club des Cinq - Histoires de Sexe

Club des Cinq

... un expert en préliminaires, mais pour lui-même, dès qu’il jouit deux fois, ou plus rarement trois fois, il est complètement HS.— Ah OK… En moi-même, je me dis que c’est con pour lui ! Mais c’est la vie… Les voyeurs se dispersent. Ma femme récupère peu à peu. Je l’entends qui me dit : — Espèce de salaud, t’y as pas été de main morte !— De bite morte serait plus adéquat !— C’est ça, rigole !— En tout cas, tu sembles en avoir doublement profité, n’est-ce pas ? À cette évocation, ma femme rougit : — Ah ben merde alors ! J’aurais jamais cru que… enfin…— Ce n’était pas bon ?— Si, si ! Puis après ce cri du cœur, elle se tourne vers Marianne : — Euh… ça a été ?— Oui, tu t’es très bien débrouillée. Surtout si c’est une première fois, si je comprends bien.— Ah… euh… merci… Me levant, je propose aux femmes : — Ça vous dirait une petite douche ? À trois ? Nous sommes partis à trois vers le coin douche. Nous avons croisé quelques voyeurs sur notre chemin, certains ont dévisagé ma femme avec insistance, lançant divers appréciations égrillardes : — Ah voici notre belle enculée !— Tu t’es bien donnée à fond, toi !— Waow, ça sent le sperme à plein nez !— Ça te fait quel effet d’être remplie de sperme ? Et j’en passe, et encore j’édulcore certains propos. Ma femme ne dit rien, mais je sens qu’elle est partagée entre deux sentiments : une sorte de honte et une forte sensation de fierté. Pour ma part, je suis fier de montrer à la face du monde que ma femme est une sacrée salope et une bonne ...

... pute. Les hommes, la plupart des hommes, adorent montrer leur bonne fortune, et comme je suis un homme, je n’échappe pas à cette généralité. C’est à trois dans la même douche que nous nous lavons. Nous jouons sous l’eau chaude, faisons quelques caresses, les deux femmes esquissent un premier baiser, puis un second nettement plus profond. Mais ma femme est visiblement fatiguée par toutes ces émotions, sans trop d’entrain ; elle sort la première. Alors profitant de son absence, je m’offre le luxe de me coller contre le dos de Marianne, plaquant impudiquement ma bite contre ses fesses, tout en lui saisissant ses seins lourds couverts de mousse. Elle minaude : — Intéressé ?— Pas qu’un peu ! J’espère qu’on pourra se revoir…— Je pense que c’est envisageable…— Tant mieux ! Car c’est fou ce que je peux envisager de découvertes entre nos deux couples ! Elle ne répond rien, se laissant faire, remuant même du popotin pour mieux capturer ma queue entre ses fesses avenantes. Soudain elle murmure : — Encule-moi, j’en ai envie !— Là, maintenant, comme ça ?— Oui, là maintenant ! Tu m’as donnée envie tout à l’heure quand tu as défoncé ta femme. Cette proposition m’abasourdit un tantinet, mais je serais un crétin absolu si je ne contentais pas cette femme qui a si bien su dévergonder un peu plus ma chère épouse. — Je veux bien, mais ça risque de te faire mal, ce n’est pas lubrifié…— T’inquiète, je mouille du cul !— Tu mouilles du cul ? C’est possible, ça ?— Eh bien, encule-moi et tu le sauras ! Je ...